De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Hélas, une information du site Al Arabiya nous apprend que l’animal aurait en fait été dérobé à son propriétaire, un malien désormais réfugié dans un camp près de la frontière mauritanienne. L’idylle entre le jeune chameau et le président de la République aura donc été de courte durée. Officiellement en raison de la difficulté pour l’animal à survivre au climat trop froid de l’Hexagone, le mammifère à deux bosses va être confié à un fermier qui avait perdu sa maison lors de l’offensive française, rapporte BFM TV.
Il devra donc prendre le plus grand soin du « chameau présidentiel », comme l’ont baptisé les diplomates maliens : celui-ci rentre désormais dans la sphère privilégiée des animaux d’Etat. François Hollande, qui avait promis de s’en servir « autant que possible comme moyen de transport », tient désormais un bon prétexte pour effectuer son prochain voyage d’Etat à Bamako.