Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
C’est un impôt qui concerne quelque 32 millions de contribuables. La taxe foncière, dont le chef de l’Etat n’a pas promis la suppression, à la différence de la taxe d’habitation, constitue donc un prélèvement bien connu des Françaises et des Français. En 2021, explique Le Figaro Immobilier sur son site, elle aura rapporté plus de 27 milliards d’euros, “un chiffre en hausse de 2,9% par rapport à 2020”, précise le titre de presse. L’intégralité des sommes collectées, a d’ailleurs précisé la Direction Générale des Finances Publiques, a été reversée aux collectivités locales.
En moyenne, cela signifie donc que les Françaises ainsi que les Français ont payé entre 760 et 932 euros à l’année, entre les appartements et les maisons respectivement. De quoi trouver l’addition salée, en somme ! Cela s’explique assez aisément, comme le faisait récemment Planet, par le nombre de taxes annexes qui viennent parasiter le montant de cette dernière. Pour autant, ce n’est pas la seule raison qui permet d’expliquer la montée à venir de cet impôt, détaille Capital.
Taxe foncière : pourquoi faut-il craindre 2026 ?
Dans les faits, soulignent nos confrères, c’est la révision des valeurs locatives qui va le plus faire flamber l’addition. Ce sont elles qui servent de base au calcul de la taxe et elles ont déjà été rehaussées de 3,4% en début d’année. A compter de 2026, elles devraient progresser de 2 à 3% pendant dix ans… et parfois plus.
En outre, cette opération, dans un contexte de perte de revenus pour l’Etat. La suppression de la taxe d’habitation, en effet, n’est pas neutre financièrement. Elle coûte 19 milliards d’euros par an, environ. La hausse du taux de la taxe, indépendamment de la révision des valeurs locatives, est d’ailleurs posée sur la table.