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Selon récent un sondage Ifop-pompes funèbres, un Français sur deux souhaiterait être incinéré et près de 200 000 crémations sont réalisées tous les ans.
Cette crémation doit intervenir entre 24 heures et 6 jours après le décès et elle se fait obligatoirement dans un cercueil en bois léger et peu onéreux, en aggloméré, voire en carton. Epaisseur maximum : 18 mm. Poignées, signes religieux, emblèmes : tout doit être combustible.
Avant qu’il pénètre dans la salle de crémation, un cachet en terre réfractaire est placée sur le corps du défunt afin de pouvoir identifier les cendres sans risque d’erreur.
Puis le corps est placé dans une chambre de crémation, généralement constituée de briques. S’ils le souhaitent, les proches peuvent assister à l’enfournement du cercueil grâce à une porte munie d’une vitre spéciale.
2 heures pour réduire le corps en cendre
Une fois le corps dans la machine, le four passe par un cycle d'échauffement avant que les brûleurs, alimentés au gaz naturel, s'allument.
A l’intérieur de la chambre, la température peut alors atteindre 800 degrés. Il faut environ 2 heures pour réduire le corps en cendre. Les restes sont ensuite balayés vers une casserole de refroidissement. Les fragments d'os sont broyés dans une machine spéciale les réduisant en poudre.
L’ensemble est ensuite placé dans un sac en plastique (le "cendrier"), fermé par soudure ou scellement. Lui même est placé dans une urne funéraire.
Sur cette urne, remise à la famille, figurent notamment les nom et prénom du défunt, ainsi que ses dates de naissance et de décès.