Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Vendredi 27 mai, les propriétaires d’une maison de Bellegarde-en-Forez ont fait face à l'horreur. Après l’expulsion de leurs locataires, le couple a découvert leur maison dans un état d'hygiène déplorable.
Les fenêtres, les murs et le sol étaient recouverts d’excréments d’animaux, explique Le Progrès. Et dans le congélateur, au milieu des esquimaux glacés et des poissons panés, 32 cadavres de chats soigneusement enveloppés dans des tissus ont été retrouvés.
Le cauchemar ne s’arrête pas là. U ne trentaine de corps de chats ont également été découverts, enterrés dans de nombreux pots de fleurs disséminés dans la maison, rapporte Ouest-France.
Une nécropsie réalisée dans le cadre de l’enquête a toutefois révélé qu'aucun acte de cruauté n’avait été commis par les propriétaires.
Le "syndrome de Noé" en cause pour expliquer cette affaire ?
Une plainte pour maltraitance a été déposée par une association de protection des animaux contre le couple de locataires, qui vivaient là avec deux chiens et une trentaine d’autres chats vivants. Ils souffriraient tous deux de problèmes psychologiques et devraient être entendus prochainement par la gendarmerie.
Selon TF1, le "syndrome de Noé" aurait été évoqué pour expliquer le comportement des mis en cause dans le cadre d’affaires similaires à celle-ci. Cette maladie désigne, d’après Midi-Libre, le fait d’accumuler chez soi de trop nombreux animaux sans pouvoir s’occuper d’eux correctement. Les intentions des personnes qui en sont atteintes ne sont pas mauvaises et ils s’attachent bien souvent très profondément à leurs animaux, au point de ne pas pouvoir s’en séparer. Ce type d’action peut être considéré comme une forme de maltraitance.