
Alors que le mois d’avril s’achève sur un temps sec et chaud, la France s’apprête à vivre une journée du 1er mai particulièrement chaude. Plusieurs départements devraient franchir la barre des 27 °C....
Camila Roxana Martinez Mendoza, 3 ans, a connu un terrible destin. Depuis le début du mois d’août 2022, la fillette se plaignait d’être fiévreuse, de souffrir de sérieux maux de ventre et vomissait régulièrement. Le 18 août, sa maman, Mary Jane, ne sachant plus comment la soigner, l’emmène en urgence à l’hôpital.
On lui prescrit alors un traitement contre la déshydratation. Mary Jane est confiante. « Ils lui ont donné 30 gouttes de paracétamol et m'ont dit que ma fille allait bien, que je pouvais la ramener à la maison » a-t-elle raconté à Reforma, un journal mexicain.
Seulement, l’optimisme de la maman ne dure pas longtemps. Après quelques heures, l’état de Camila se dégrade à nouveau. Mary-Jane retourne à l’hôpital avec sa fille.
Mais il est trop tard pour l’enfant. Camila succombe quelques heures plus tard, et les médecins finissent par déclarer sa mort.
Le choc est immense pour sa maman, et pour ses proches. Une veillée funéraire est organisée, au domicile de la famille. Tout le monde vient se recueillir auprès du cercueil de la fillette, vitré en attendant l’inhumation.
C’est à ce moment-là que la grand-mère de la petite fille remarque l’inimaginable. En s’approchant du cercueil elle croit apercevoir de la buée sur le verre, comme si quelqu’un respirait à l’intérieur.
Mary Jane, à son tour, voit les yeux de sa petite fille bouger. Elle se dit qu’elle est probablement d’imaginer la scène, sonnée par le deuil. Et pourtant : sur place, une infirmière finit par examiner Camila. Elle est bien vivante.
Transférée de toute urgence l’hôpital, la fillette y décédera, pour de bon cette fois, peu de temps après, d’une « mort cérébrale ».
Une enquête a été ouverte pour « négligence médicale ».
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