De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Faire frire, revenir, assaisonner… Les huiles alimentaires sont partout en cuisine. Chaque année, les Français en consomment 1,7 millions de tonnes, soit 54 litres par seconde selon le site de statistiques en temps réel Planetoscope. Toutes les huiles végétales sont composées à 99% de lipides, des matières grasses indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Pourtant, chacune d’elle a ses particularités propres et des utilisations différentes en cuisine. De colza, d’olive, ou d’arachide, le choix de l’huile ne doit pas être laissé au hasard.
De l’importance du point de fumée
Un point non négligeable au moment de choisir son huile : le point de fumée. Il correspond à la température à laquelle de la fumée est visible lors de la chauffe d’une matière grasse. Lorsqu’elle est dépassée, des molécules toxiques, voire cancérigènes, apparaissent. C’est pourquoi il faut choisir son huile avec soin lors de la cuisson des aliments.
Voici les points de fumée des différentes huiles, selon EDP-Nutrition (le premier chiffre correspond à la température maximale pour une huile non raffinée (vierge), le second à une huile raffinée) :
- Huile de tournesol : 107°C / 227°C
- Huile d’olive (extra vierge) : 160°C / --
- Huile d’olive (vierge) : 216°C / --
- Huile d’olive (extra légère) : -- / 252°C
- Huile d’arachide : 160°C / 232°C
- Huile de colza : 107°C / 240°C
- Huile de lin : 107°C / --
- Huile de noix : 160°C / 204°C
- Huile de noix de coco : 177°C / 232°C
Certaines huiles sont donc plus adaptées à certains types de cuisson que d’autres. Découvrez les meilleures façons d’utiliser vos différentes huiles dans le diaporama ci-dessus.