Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Gaspillage alimentaire, transports, émissions de CO2 gargantuesques… Notre mode d’alimentation n’est pas adapté à la transition écologique. L’empreinte carbone de notre assiette est bien trop pesante pour la planète. D’autant plus que nous sommes de plus en plus nombreux.
A l’horizon 2050, indique Le Parisien, l’humanité devrait atteindre 10 milliards d’individus. Conséquence de cet accroissement phénoménal de la population de la planète Terre : la gestion des ressources alimentaires sera plus difficile.
D’après une étude du CNRS-CIRED et d’autres organismes scientifiques, explique le quotidien francilien, ce sont les progrès techniques qui domineront le domaine de l’alimentation. L’étalement urbain devrait à ce moment se poursuivre, rognant sur les parcelles agricoles. Pas le choix pour suivre la cadence, le secteur de l’alimentaire deviendrait majoritairement intensif et robotisé.
A quoi ressemblera notre assiette en 2050 ?
Le prix des denrées fraîches et de qualité augmenterait. Elles ne seraient alors accessibles qu’à une population plus aisée, explique le média. Le reste de la population ne se nourrirait alors que de produits prêts à consommer, riches nutritionnellement.
L’assiette de la plupart des foyers dverait considérablement changer. Certains produits deviennent plus rares, résultat de notre économie en transport de ressources alimentaires et de nos préférences à consommer localement. Quelles denrées pourraient disparaître de notre régime ?
Pour le savoir, Planet a réalisé le diaporama ci-dessous, selon le scénario de l’étude vers la neutralité carbone en 2050, désigné comme "la génération frugale" rapporté par Le Parisien et BFMTV.