Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Suite aux attaques répétées des loups contre les troupeaux de moutons, une réunion entre bergers, représentants de l’État et écologistes a lieu dans une mairie des Pyrénées.
Aux bergers qui réclamaient l’organisation de battues destinées à tuer le maximum de loups pour en contrôler la population, les écologistes ont présenté une alternative.
— La solution "plus humaine", préconise Sandrine Rousseau, est de capturer les loups vivants, de faire une vasectomie aux mâles, puis de les relâcher. Ainsi, les loups opérés garderont leur instinct de mâle, ils feront comme d’habitude leurs saillies sur les femelles, en revanche les femelles ne seront plus fécondées, c’est de cette manière que la population sera le mieux contrôlée.
Lorsque Rousseau termine son exposé, les bergers prennent quelques secondes pour réfléchir à la proposition, puis un vieux fermier qui a fait le déplacement se lève d’un bond, prend son chapeau et le claque par terre en s’adressant à la représentante des Verts :
— Écoute-moi, madame, je crois que t’as pas bien saisi le problème : les loups, ils ne baisent pas nos moutons... ils les bouffent !