Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
"Connaissez votre client". Un évidence pour tout bon commerçant ? Pour les banques, cela peut même relever d'une obligation légale afin de lutter contre la fraude fiscale ou le blanchimen t. Grâce aux outils technologiques développés depuis quelques années, les méthodes d'enquête pour mieux savoir à qui les banques ont à faire peuvent se révéler extrêmement pointues. C'est ce que pointe une enquête de l'AFP publiée par Le Revenu ce vendredi.
Ces moyens de vérifictions reposent sur les principes de base de toute enquête : collecte d'information, multiplication des sources, recoupements.... Mais pour parvenir à trier des masses gigantesques de données, les outils technologiques très avancés, tels que des algorithmes et l'intelligence artificielle peuvent se révèlent particulièrement utiles.
Des limites
Ces outils permettent de constituer des dossiers justement baptisés KYC pour "know your custommer" en anglais. Ceux-ci répondent à des obligations réglementaires mais permettent aussi de vérifier des transactions en ligne. Pour renforcer la sécurité, des modifications concernant les cartes bancaires sont prévues.
Une professionnelle du secteur, interrogée par l'AFP note cependant: "si le commerçant met trop de prudence dans ses outils de lutte anti-fraude, il va perdre du chiffre d'affaires".
Concrètement, c omment les établissements bancaires s'y prennent-ils pour en savoir plus sur leurs clients ? Voici les principaux outils et méthodes à leur disposition pour mieux étudier nos profils et nos comportement.