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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Depuis plus de cinq mois, Nordahl Lelandais, mis en examen pour meurtre dans l’affaire Maëlys, niait toute implication dans la disparition de la fillette. L’ex-militaire de 34 ans s’en tenait fermement à sa version jusqu’à ce qu’une nouvelle preuve vienne tout chambouler.
Mercredi, son avocat a demandé à ce qu’il puisse parler aux juges d’instruction, face auxquels Nordahl Lelandais a avoué. C’est un changement radical de stratégie, alors que la semaine dernière encore son avocat, Maître Alain Jakubowicz, faisait valoir des incohérences dans le dossier. Ce qui a fait changer Nordahl Lelandais, c’est une nouvelle preuve : des traces de sang.
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Elles ont été retrouvées dans le coffre du véhicule de Nordahl Lelandais il y a une dizaine de jours, ce même véhicule, une Audi A3, qu’il a très attentivement nettoyé le lendemain du mariage où a disparu la fillette. Or comme l’a rapporté BFM mercredi, ces traces de sang correspondent au sang de Maëlys.
Les enquêteurs avaient décidé depuis quelques semaines de s’intéresser à nouveau à la voiture du suspect. Ils avaient pour l’occasion désossé complètement certaines parties du véhicule. Des traces ADN de l’enfant avait déjà été retrouvée mais Nordahl Lelandais assurait qu’il s’agissait d’ADN de transfert.
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