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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapressPar quoi est-on influencé lorsqu'il s'agit de choisir son bord politique ? Croyances personnelles, milieu familial... Que nenni. D'après une étude américaine, c'est la manière dont fonctionne notre cerveau qui conditionne nos préférences politiques.
Pour démontrer cela, l'université Lincoln du Nebraska, aux Etats-Unis, a mené des recherches en soumettant des centaines de personnes de différents bords politiques à des tests pour observer leur réaction.
Il apparaît que les personnes plutôt conservatrices réagissent plus aux stimuli négatifs que les libéraux, qui sont plus réactifs aux stimuli positifs. Par exemple, sur une série d'images visionnées, les conservateurs ont tendance à se concentrer sur les clichés déplaisants alors que les libéraux préféreront rester sur des images qui leur plaisent.
De même, lorsque l'on montre des photos d'hommes politiques, les conservateurs régissent plus vivement à la vue d'hommes d'un parti adverse, tandis que les libéraux sont concentrés sur les hommes politiques de leur parti.
Et les centristes dans tout ça ?
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