Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Ce 28 novembre 2022, Faustine Bollaert revenait sur France 2 avec un nouveau numéro de son émission Ça commence aujourd'hui.Au programme de ce lundi, les témoignages de celles et ceux qui, à plus de 60 ans se sont retrouvés à la rue du jour au lendemain.
C'était notamment le cas d'une invitée prénommée Maria qui s'est livrée sur sa mésaventure avec émotion. Son histoire a débuté comme beaucoup d'autres. "Je viens vivre à Puteaux, j'y vis depuis 28 ans. Le propriétaire veut vendre. Je ne peux pas acheter. On me fait un procès, je suis expulsée. Je le supporte très mal", a-t-elle commencé à raconter. Expulsée à l'âge de 71 ans, Maria part vivre un mois chez une amie qui l'héberge. Une situation "difficile" pour la septuagénaire qui ne veut pas se fâcher avec cette dernière. Elle décide donc de s'installer dans sa voiture sans en avertir personne. "Je veux garder ma fierté", expliquait-elle.
Honteuse, elle n'en parle pas à sa fille et lui explique s'être installé chez une amie. P endant près d'un an et demi, Maria vivra dans sa voiture. "Je peux vous dire qu'on a de très mauvaises pensées. On dit on ne mérite pas. On a travaillé depuis l'âge de 16 ans (...) Vous payez vos impôts comme tout le monde, vous payez votre loyer. Je ne peux pas acheter parce que je suis toute seule avec un enfant et je continue en location", expliquait-elle. Face à cette situation, Maria a révélé à l'animatrice avoir déjà pensé au suicide. "On ne peut pas se dire que vous êtes honnêtes, vous n'avez jamais fait de crédit, vous ne devez rien à personne (..) et à la fin de votre vie, quand votre fille travaille, qu'elle est partie... Et vous êtes à la rue ? Ce n'est pas pour moi quoi".
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Les internautes s'indignent
À la suite de la diffusion de cette séquence, les réactions ont été nombreuses sur la toile. Bons nombres déplorant l'inactivité de sa fille. "Et sa fille alors ? Moi j’en veux plus à sa fille qu’au gouvernement ! Le propriétaire est en droit de vouloir vendre son logement et c’est à ce moment-là que sa fille aurait dû intervenir et prendre soin de sa mère !", peut-on lire ou encore "Je ne comprends pas comment les enfants ont le courage de laisser vivre leurs parents dans la rue".
Certains ont pointé du doigt la décision de justice de mettre à la rue une femme âgée de 71 ans."J'ai été bouleversé par les témoignages de ces personnes. Je ne comprends plus notre gouvernement qui ne protège pas nos concitoyens..".