De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le remaniement ministériel approche à grands pas et François Hollande est toujours en plein doute. Qui choisir pour remplacer les sortants, tel Laurent Fabius annoncé au Conseil constitutionnel, dans un souci de cohésion gouvernementale et de rassemblement en vue de 2017 ?
Pour résoudre cette équation, un homme pourrait bien faire l’affaire : Nicolas Hulot. En effet, son nom serait dans les petits papiers de François Hollande pour plusieurs raisons. Car si Laurent Fabius s’en va au Conseil constitutionnel, Ségolène Royal est annoncée pour le remplacer au Quai d’Orsay. Une place resterait donc vacante au ministère de l’Ecologie.
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Un "super-ministère", le titre de ministre d’Etat…
Or, qui de mieux que Nicolas Hulot à ce poste. Le militant écologiste a en effet plusieurs atouts pour lui : bon connaisseur des questions environnementales, il a aussi l’avantage d’être une figure appréciée des Français et de la gauche de la gauche.
Pour le faire venir au gouvernement, François Hollande n'avait pas fait dans la demi-mesure : selon Europe 1, il lui avait proposé un "super-ministère" de l’Ecologie, et le statut de ministre d’Etat, un privilège que peu de ministres du gouvernement possèdent, et qui vous place hiérarchiquement au-dessus de tous les autres ministres.
"François Hollande lui a également proposé un portefeuille au périmètre le plus large possible. Avec l’Écologie bien sûr, mais aussi d'autres prérogatives, qui pourraient englober l’Énergie ou le Transport", a révélé la radio, précisant que Nicolas Hulot était toujours "indécis" mecredi sur son entrée au gouvernement.
Cependant, ce jeudi après-midi, Nicolas Hulot a mis fin a ces atermoiements en annonçant sur son compte Twitter qu'il ne ferait pas partie du prochain gouvernement.
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