IstockEmmanuel Macron bientôt destitué ? Explosion meurtrière de bipeurs au Liban... Quoi de neuf ce 18 septembre ?
Dans l'actualité ce mercredi 18 septembre, la procédure de destitution contre Emmanuel Macron, initiée par LFI, a été jugée recevable. Une explosion de bipeurs au Liban a causé neuf morts et plus de 2 750 blessés. Dominique Pelicot, l'homme jugé pour avoir drogué sa femme et l'avoir livrée à d'autres hommes, a reconnu les faits lors de son procès.

Ce mercredi, la presse française revient sur un fait inédit : la procédure de destitution contre Emmanuel Macron, lancée par La France Insoumise, a été jugée recevable par le bureau de l'Assemblée nationale. Avec 12 voix contre 10, cette première étape a été validée, même si la procédure n’a quasiment aucune chance d'aboutir, tant le soutien parlementaire nécessaire fait défaut. 

Explosion meurtrière de bipeurs au Liban

Une série d’explosions de bipeurs ont secoué plusieurs régions du Liban hier. Le bilan est lourd : au moins neuf morts et 2 800 victimes, dont 200 dans un état critique, a affirmé le ministre de la Santé. Ce système de radiomessagerie, désuet mais encore utilisé, a mystérieusement explosé de façon simultanée, provoquant des scènes de chaos dans le pays.

Affaire des viols de Mazan : Dominique Pelicot passe aux aveux

Après une semaine d'attente, Dominique Pelicot s’est enfin exprimé lors de son procès. Jugé pour avoir drogué sa femme afin de la livrer à d'autres hommes, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a notamment évoqué les traumatismes de son enfance, exprimant que ces derniers auraient  contribué à façonner l'homme qu'il est devenu

Vidéo du jour

Scandale dans les crèches privées 

Deux ans après avoir dénoncé les dérives des Ehpad dans Les Fossoyeurs, Victor Castanet publie aujourd'hui Les Ogres. Cette enquête révèle les dysfonctionnements du système des crèches privées en France. Le journaliste y dénonce des pratiques alarmantes et pointe du doigt la compromission des instances publiques.

La Dépêche

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©La DépêcheLa Dépêche

La première étape vers une éventuelle destitution du président de la République a été franchie le mardi 17 septembre. Le bureau de l'Assemblée nationale a validé la procédure de destitution. Bien que cette démarche ait peu de chances d'aboutir, elle "affaiblit Emmanuel Macron", explique la politologue Anne-Charlène Bezzina dans La Dépêche. Elle ajoute : "Ce geste montre que le bloc de gauche est prêt à se mobiliser et que le NFP n'a pas dit son dernier mot."

Même si l'issue de cette procédure reste improbable, certains préparent déjà la suite. Edouard Philippe avait déjà déclaré : "Je serai candidat à la prochaine élection présidentielle", alors qu’Emmanuel Macron cherchait son nouveau Premier ministre.

La Marseillaise

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©La MarseillaiseLa Marseillaise

Dans l'édito du jour, Léo Purquette écrit dans les colonnes de La Marseillaise : "C'est un signal révélateur de la profondeur de la crise actuelle. Emmanuel Macron est déjà largement discrédité par la presse internationale pour son coup de force antidémocratique", pendant que son nouveau Premier ministre peine encore à former un nouveau gouvernement.

Ouest-France

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©Ouest-FranceOuest-France

"Vers 15h30 mardi, plusieurs appareils de réception de messages, appelés 'bipeurs', appartenant à des travailleurs de diverses unités et institutions du Hezbollah, ont explosé", a déclaré le mouvement chiite dans un communiqué relayé par Ouest France. Le bilan fait état de 2 800 blessés. Selon l'AFP, Parmi les neuf morts confirmés, figurent deux enfants de députés, âgés de 10 ans, tués lors des explosions.

Libération

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©LibérationLibération

Les détonations ont retenti dans la banlieue sud de Beyrouth, dans la plaine orientale de la Bekaa et au Sud-Liban. Un simple appareil du quotidien, le bipeur, a été utilisé comme arme. Pour l'instant, aucune confirmation sur l'origine des explosions n'a été donnée, mais une hypothèse évoque un piratage sophistiqué du réseau des bipeurs, qui aurait provoqué une surchauffe des batteries, entraînant les détonations.

Le Parisien

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©Le ParisienLe Parisien

"Je suis un violeur, au même titre que toutes les personnes présentes dans cette salle", a déclaré Dominique Pelicot dans box des accusés de la cour criminelle du Vaucluse le mardi 17 septembre. Il demande "pardon" sous les regards attentifs de ses coaccusés, rapporte Le Parisien.

Cinquante hommes sont jugés pour viols aggravés sur son ex-épouse Gisèle, 71 ans, qu'il droguait avant d'inviter des inconnus chez lui à Mazan (Vaucluse) pour filmer les abus. L'accusé reconnaît l'intégralité des faits, qu'il qualifie "d'abominables", et n'a concédé que cette seule déclaration au cours de l'audience.

La Provence

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Dominique Pelicot reste inflexible dans ses déclarations : selon lui, tout le monde savait que sa femme serait droguée, contrairement aux affirmations de certains, qui parlent de confusion ou de manipulation délibérée. "Dès qu'ils ont franchi la porte, aucun d'eux n'est reparti sans rien faire".

Sud Ouest

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©Sud OuestSud Ouest

En librairie ce mercredi 18 septembre, Victor Castanet dévoile les abus dans le secteur des crèches privées. Ces établissements, avares et insatiables, se préoccupent uniquement de croître et de maximiser leurs profits.

Après Les Fossoyeurs où il révélait les malversations et la maltraitance dans les Ehpad privés, il s'attaque cette fois aux crèches privées, notamment People & Baby. Le constat est le même : exploitation de la vulnérabilité. Le livre expose le détournement de fonds publics, une prise en charge minimale des enfants et des conditions de travail dégradantes pour le personnel, tout en optimisant les coûts sur tous les aspects, de la nourriture aux couches.

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