La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ils sont les bons élèves de cette seconde vague. Peu touchés par le retour du coronavirus Covid-19, ces départements s’en sortent mieux que les autres depuis le début de l’automne, avec des indicateurs toujours en dessous de la moyenne nationale ou alors loin, très loin derrière les territoires avec les cas les plus graves. Ces cinq départements de France métropolitaine affichent désormais des taux d’incidence parmi les plus bas du pays, y compris lorsqu’on regarde les chiffres des départements et régions d’outre-mer. Voici la liste.
- Le Finistère : taux d’incidence de 28 pour 100 000 habitants
- La Charente-Maritime : taux d’incidence de 46,1 pour 100 000 habitants
- Les Pyrénées-Orientales : taux d’incidence de 49,7 pour 100 000 habitants
- La Haute-Corse : taux d’incidence de 47,2 pour 100 000 habitants
- La Corse-du-Sud : taux d’incidence de 36,3 pour 100 000 habitants
Coronavirus : ces départements qui se rapprochent du seuil de vigilance
Ces cinq départements affichent donc un taux d’incidence inférieur à 50 et sont en dessous du seuil d’alerte défini par les autorités. Certains, comme la Corse-du-Sud et le Finistère, se rapprochent même du seuil de vigilance, fixé à 10 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Autant dire que la seconde vague du virus est déjà derrière eux et qu’ils peuvent appréhender le déconfinement avec plus de sérénité que certains autres territoires de l’Hexagone.
A l’inverse de ces cinq départements, huit se trouvent encore dans une situation plus inquiétante, puisqu’ils affichent toujours un taux d’incidence entre 250 et 500 cas pour 100 000 habitants. Il s’agit des Ardennes (257,2 pour 100 000 habitants), du Doubs (261,7 pour 100 000 habitants), de la Haute-Savoie (361,5 pour 100 000 habitants), de la Savoie (274,4 pour 100 000 habitants), des Hautes-Alpes (255,4 pour 100 000 habitants), de l’Isère (255,1 pour 100 000 habitants), de la Loire (255,4 pour 100 000 habitants) et de la Haute-Loire (256,5 pour 100 000 habitants).