Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
C'est un véritable miracle. Après un terrible accident qui a coupé sa voiture en deux avant qu'elle ne s'embrase ce dimanche 29 novembre au Grand Prix de Bahreïn, Romain Grosjean s'en sort miraculeusement indemne avec quelques brûlures aux mains. Le Français e en effet percuté de plein fouet le rail de sécurité après un dépassement.
"Je voulais juste vous dire que je vais bien, merci beaucoup pour tous vos messages. Je dois dire que je n'étais pas pour le halo à l'origine, mais il faut bien dire que c'est une bonne chose et sans cette protection, je ne serai pas là à vous parler. Merci à mes médecins et avec un peu de chance je pourrais vous écrire très vite", a déclaré le pilote sur son lit d'hôpital dimanche au soir.
"C'est grâce au halo qu'il a pu s'en sortir"
Sur RTL, Jean-Louis Moncet, journaliste F1, analyse l'accident et juge que la sécurité désormais mise en place pour les Grand Prix de F1 lui ont sauvé la vie. "Quand on tape le rail quasiment de face à 220 km/h et qu'on a une force d'impact de plus de 5G, on peut dire qu'il y a d'un côté la providence, mais aussi la technique. Si Romain peut nous parler comme ça aujourd'hui, c'est aussi grâce à la sécurité des formules 1 et de sa voiture en particulier", assure le spécialiste.
Il met en avant le rôle majeur du "halo", tout comme le Français miraculé. "C'est un trépied en carbone qui peut subir un poids de 32 tonnes et qui a permis de découper le rail. C'est grâce au halo qu'il a pu s'en sortir", estime le journaliste F1.