La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une publication qui ne passe pas. Le 20 août 2020, Anaëlle Guimbi, une candidate en lice pour le concours de Miss Guadeloupe 2020 a été évincée de la compétition. Ce vendredi 21 août, elle aurait dû rejoindre l'hôtel Arawak Resort du Gosier avec les cinq autres candidates, mais il n'en sera rien.
La jeune femme de 20 ans ne prendra pas part à cette élection, malgré sa participation à toutes les phases de préparation. D'autant que celle qui portait le numéro 3 avait été mise en avant sur les réseaux sociaux par le comité Miss Guadeloupe dans la matinée du 20 août. Comment expliquer cette expulsion soudaine ?
"Je continuerai toujours à défendre les valeurs qui me sont chères"
La principale concernée a pris la parole sur Facebook pour expliquer les raisons de sa disqualification. "Malheureusement cette magnifique aventure qu'est Miss Guadeloupe s'arrête ici pour moi. En effet, les photos que vous voyez s'avèrent être contraire aux valeurs de Miss France", a-t-elle rédigé en ajoutant : "Les règles sont ce qu'elles sont, je m'incline, mais je continuerai toujours à défendre les valeurs qui me sont chères comme ce combat contre le cancer du sein". En effet, les clichés dévoilés datent d'octobre 2019.
Sur celles-ci, Anaëlle Guimbi pose topless. Les photos ont été prises lors d'une campagne annuelle (octobre rose) visant à sensibiliser au dépistage du cancer du sein. Cependant, le règlement de Miss France stipule que les candidates ne doivent pas poser "totalement ou partiellement dénudée". Des consignes strictes contre lesquelles les internautes se sont insurgés.
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"Le comité n'est pas fautif, je suis la seule responsable de mes actes"
Malgré ce sentiment d'injustice, Anaëlle Guimbi a posté un message sur son compte Twitter pour calmer le jeu : "Ça ne sert à rien de boycotter l'élection, les autres filles méritent, on a toutes travaillé très dur. En sachant que je participais à une élection, j'aurais dû anticiper en amont. Je ne l'ai pas fait. Le comité n'est pas fautif, je suis la seule responsable de mes actes", a-t-elle déclaré.
"Le body painting, c'est considéré comme du nu. C'est les règles, je n'y avais pas prêté attention, j'espère juste que les prochaines candidates pourront se servir de mon ‘erreur' pour ne pas la reproduire". En revanche, l'ancienne candidate estime que ces photos ne sont pas parvenues au comité par hasard. "J'espère que les personnes qui ont fait parvenir la photo au comité dormiront bien ce soir. J'en sortirai plus forte", a-t-elle conclu.