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Une idylle qui tourne au cauchemar pour Laurence. Depuis sa participation dans la saison 17 de L’amour est dans le pré sur M6, la candidate est au cœur d’un triangle amoureux entre l'agriculteur Jean et sa rivale Nathalie. Un trio qui a déjà marqué les esprits auprès des téléspectateurs.
Lors d’un épisode diffusé lundi 26 septembre dernier, l’éleveur bovin auvergnat n’avait pas caché sa préférence pour Laurenceen l’embrassant fougueusement sous les yeux médusés de la seconde prétendante. "L'image de cette saison : Le roulage de pelle pachydermique, le polo full sueur, le seum du super héros en arrière-plan. C'est magique", "On appelle ça une humiliation pour Nathalie…", "Bon, pas très délicat tout de même Jean", se sont exclamés les fans du programme sur Twitter.
Laurence "dépassée" par les événements autour de l’émission
Un baiser devenu viral dont Laurence a dévoilé les dessous de la séquence. "Quand nous nous sommes embrassés, les caméras étaient à vingt mètres. Je ne croyais pas que ça allait donner ça", a expliqué la quinquagénaire dans La Charente Libre. Mais, aujourd’hui, la prétendante de Jean semble atteinte par l’emballement médiatique. "Je suis dépassée. Si je pouvais remonter le temps, je ne referai pas cette émission. Ça m’a causé trop d’embêtements".
Baiser langoureux, bain en amoureux dans un jacuzzi… Son idylle médiatisée avec l’agriculteur lui a valu des moqueries, mais également des remontrances de son employeur. Comme l’ont indiqué nos confrères du quotidien charentais, Laurence Ceinturet est employée à la mairie de Saint-Yrieix en tant qu’agente de la fonction publique. Elle a officié pour la cantine d'une école maternelle et, aussi, livré des repas pour les personnes âgées. Mais, au moment du tournage, elle s’était déclarée en arrêt maladie auprès de son employeur.
Laurence ne veut "pas de problème avec la mairie"
Interrogé par Télé-Loisirs, le maire de Saint-Yrieix, Jean-Yves Fournié, est revenu sur les raisons de l'absence de sa salariée. "Elle est en arrêt depuis mars 2021. C’est à cause de douleurs à l’épaule, une situation imputable à son service", confiait l’édile à nos confrères. "Son arrêt est pris en charge par la collectivité, pas la Sécu. Au fond, il n'y a pas eu de cumul de rémunération, aucune faute. Et puis c’est une personne qui fait bien son travail, elle est appréciée. Si seulement elle nous l'avait dit !".
Face à cette situation, Laurence a été convoquée par la collectivité car son apparition dans L’amour est dans le pré serait jugée "comme portant atteinte au fonctionnement interne des services", nous apprend le quotidien. Pour le maire de la commune, Jean-Jacques Fournié, "elle aurait pu et dû être transparente", quant à sa participation. Avant de reconnaître que la fonctionnaire n’est pas dans une situation d’illégalité. "Les textes permettent à un agent malade de voyager sur une période courte", précise le journal.
Pour autant, l’édile du village estime que l’absence de sa salariée a été mal vécue par ses collègues. Ces derniers n’ayant pas apprécié de la voir s’exposer à l’écran alors que leur charge de travail a été augmenté pour pallier son absence. "Cela instaure parmi vos collègues un sentiment d’injustice", est-il notifié dans la convocation, selon des termes relayés par nos confrères.
Attristée devant toute cette histoire, Laurence concède au journal. "Tout ça devient grave. Moi, je ne veux pas de problème avec la mairie". Accusée également d’avoir été rémunérée dans l’émission de M6, la quinqua dément formellement. "Je n’ai pas touché un centime". Assurée d’avoir le soutien de deux déléguées syndicales CGT qui l’entourent, la candidate "ne sera pas sanctionnée", indique le maire de Saint-Yrieix. Mais, de nouvelles révélations pourraient changer la donne...
Laurence visée par "une procédure disciplinaire"
Selon les révélations de La Charente Libre parues fin octobre, "une procédure disciplinaire" a été enclenchée contre Laurence Ceinturet par un courrier envoyé de la municipalité. "J’envisage de prendre une mesure d’avertissement", a écrit le Charentais Jean-Jacques Fournié, maire de la ville où travaille la prétendante de Jean. Pour l’édile, son "comportement" et sa "participation" au programme animé par Karine Le Marchand constituent un "manquement aux obligations du fonctionnaire" et à son "devoir de réserve".
D’après ce même courrier, l’attitude de Laurence "porte atteinte à la considération du service public par les usagers" et "au devoir de loyauté". Il y condamne aussi la médiatisation qui "nuit fortement à l’image de la collectivité". Face à l’ampleur de la polémique, Jean-Marie Fournié avait pourtant assuré que son employée "ne sera pas sanctionnée".
Une version qu’il maintient à nouveau dans les pages du quotidien charentais. "Nous allons envoyer un avertissement à cet agent, mais il ne sera pas versé à son dossier. Cela signifie que Laurence n’aura pas de mise à pied, elle ne sera pas suspendue, il n’y aura pas d’arrêt de son traitement. Ce courrier et cette procédure s’apparentent à un rappel à la loi, quand un juge avertit quelqu’un qu’il ne s’est pas bien comporté mais ne le sanctionne pas", réaffirme le maire du village. En attendant l’heure du bilan, Laurence poursuit son histoire d'amour avec Jean lors d’un week-end en amoureux, diffusée ce lundi 31 octobre sur M6.
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