La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Un avis houleux qui fait débat. Alors que la France est confinée depuis plus d’un mois, les citoyens sont contraints de respecter les mesures dictées par le gouvernement pour endiguer la crise sanitaire. Mais selon Jean-Pierre Pernaut, les recommandations ne semblent pas être appliquées pour autant.
Comme il l’a fait remarquer le vendredi 24 avril dans le journal de 13 heures sur TF1, Jean-Pierre a poussé un coup de gueule contre ces Français qui ont pris le confinement à la légère. Alors qu’il sortait pour la première fois de son domicile, le présentateur a fait un triste constat. "Et là, surprise, dans une ville à côté de chez moi, un monde fou sur les trottoirs ! Des adultes, des enfants qui jouent, plein de monde, sans masques, sans contrôles", a-t-il blâmé avant de souligner les incohérences dans les annonces du gouvernement. "On a du mal à comprendre tout ça et maintenant entre les infos un jour sur un déconfinement par région le lendemain ce n'est plus par région (...) Tout ça donne le tournis".
"Il enfonce des portes ouvertes", selon Castaldi
Un vif coup de gueule approuvé par les internautes, mais également taclé par des personnalités. Dans l’émission Ce soir chez Baba du lundi 27 avril, Valérie Benaïm et Benjamin Castaldi se sont distingués de leurs collègues en critiquant l’avis du présentateur de 70 ans. "La prise de risque, elle est zéro, il dit juste tout haut ce que tout le monde sait tout bas", lance d'abord Benjamin Castaldi. "Il enfonce des portes ouvertes". D’après le chroniqueur, Jean-Pierre Pernaut "doit garder son avis pour lui, sinon il fait des tribunes".
Même son de cloche pour Valérie Benaïm, rejoignant l’avis de son collègue. "Ce qu’il fait là est le rôle d’un éditorialiste", explique-t-elle. "Normalement le JT, c’était la grande messe, ce n’est plus le cas mais c’était là où on donnait l’information". Plus loin, l’animatrice télé justifie son propos. "On lui demande d’être factuel, de dire ce qui va, ce qui ne va pas, mais on ne lui demande pas son point de vue, ce n’est pas le lieu". Pas de quoi inquiéter Jean-Pierre Pernaut, réputé pour son franc-parler à chacune de ses interventions au journal de 13 heures.