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Une communication difficile
Valérie Trierweiler a beau être journaliste, à voir le bilan de ses six premiers mois aux côtés de François Hollande, il semblerait que la communication ne soit pas son fort… Dotée d’un caractère bien trempé, Valérie Trierweiler n’entend pas se laisser pas marcher sur les pieds. Elle n’a en tout cas pas la langue dans sa poche et s’attire souvent les foudres des Français, mais aussi du président et de son entourage.
Après quelques sorties et cafouillages passés plus ou moins inaperçus, son principal fait d’arme restera sans aucun doute le tweet adressé à Olivier Falorni au moment de l’entre deux tours du mois de juin. Le tweet de trop. Aussitôt rebaptisé le « Tweetgate » dans les médias, ce petit message visait indirectement, n’ont pas manqué de relever certains, Ségolène Royal, opposée au député sortant de la Rochelle dans la course des législatives. Une bombe médiatique a eu du mal à se faire oublier… Surtout que depuis la Première Dame rame : elle poursuit en justice quiconque diffuse des photos d’elle en vacances ou publie des biographies pourtant autorisées.
Jalousie et rivalité avec Ségolène Royal
Le soir de sa victoire, François Hollande est allé faire la bise à Ségolène Royal qui venait de le rejoindre sur le podium installé Place de la Bastille. Quelques secondes plus tard, Valérie Trierweiler ordonne à son compagnon de l’embrasser sur la bouche « maintenant ». Quelques semaines plus tard, François Hollande soutient publiquement Ségolène Royal dans sa course électorale à la Rochelle. S’en suit une dispute où Valérie aurait dit au président : « Tu as pris position en faveur de Royal sans me le dire. Tu vas voir de quoi je suis capable ! » La menace est mise à exécution : elle tweet son soutien à Olivier Falorni. Alors que Ségolène Royal est sur les rangs pour la présidence de l’Assemblée nationale, Valérie Trierweiler envoie un SMS à l’un de ses proches : « Tout ce qu’elle aura, ce sera déjà trop ». Dire que la compagne de François Hollande a du mal à trouver sa place face à Ségolène Royal est visiblement un euphémisme. Une jalousie que beaucoup jugent, à ce niveau de l’Etat, très mal placée.
La Première dame qui voulait rester « normale »
Surfant sur la volonté d’une présidence « normale » de la part de François Hollande, Valérie Trierweiler entendait bien elle aussi, continuer à mener une vie normale. Journaliste politique depuis plus de 20 ans, la compagne du Président de la République a affirmé dès le départ vouloir continuer son métier de journaliste afin de conserver son indépendance financière. Une tâche qui semble difficile à accomplir sans trébucher… Mais cette volonté de ne pas perdre son « identité » professionnelle est aussi une manière pour Valérie Trierweiler de garder un pied dans le concret face à un statut de Première dame avec lequel elle n’est visiblement pas très à l’aise. « Je veux représenter l'image de la France, faire les sourires nécessaires, être bien habillée mais cela ne doit pas s'arrêter là. Je ne serai pas une potiche » avait-elle confié au Times en juin dernier.
Une cote de popularité désastreuse
Mal aimée de ses concitoyens, tweeteuse malheureuse… Valérie Trierweiler a du mal trouver sa place aux côtés de François Hollande. Surnommée le « Rottweiler » par la presse étrangère, la Première dame est aussi loin de faire l’unanimité dans le cœur des Français. Début octobre, un sondage publié par le magazine VSD a d’ailleurs enfoncé le clou, pointant du doigt ce désamour : avec 67% d’opinions défavorables, c’est du jamais vu pour une Première dame. Valérie Trierweiler a clairement besoin de redorer son blason.
L’humanitaire : la révélation de Valérie Trierweiler
Finalement, après de nombreuses hésitations, il semblerait que Valérie Trierweiler ait enfin trouvé un domaine qui donnerait du sens à son statut de Première dame. Alors qu’elle accompagnait François Hollande en voyage officiel en République démocratique du Congo, Valérie Trierweiler aurait eu une révélation : après avoir rendu visite à des enfants aidés par l’association « Vivre et travaillé autrement », elle souhaite désormais se consacrer à l’humanitaire. « Maintenant je sais ce que je veux faire » a-t-elle déclaré au micro de RTL, affirmant que « ce week-end [l]’changée ». La Première dame a alors expliqué : « On ne peut pas rester insensible au cas de 25.000 enfants qui sont dans la rue et qui souffrent. J'ai été bouleversée par le récit de ces jeunes filles, il faut prendre ce problème à la racine. (...) Quand on voit que des enfants sont en danger, survivent, le reste ne compte pas. » Espérons qu’elle puisse s’épanouir dans ce rôle.