Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
Il a vidé son sac. Plus enclin à évoquer la vie des têtes couronnées de la planète que la sienne, Stéphane Bern a pourtant récemment accepté de répondre aux questions de TV Grandes chaînes. Au cours d’en entretien, l’animateur s’est ainsi montré sous un autre jour. Sensible et sincère, il a en effet évoqué son passé, en passant par son enfance et son adolescence, et sa vie d’aujourd’hui. "Disons que j’ai une vie stable mais pas très épanouie", a-t-il déclaré avant de préciser : "Je vis seul avec mes teckels. J’ai des manques affectifs, c’est sûr".
Reconnaissant avoir "une vie professionnelle riche de rencontres magnifiques", le féru d’histoire admet toutefois que sa "notoriété a changé le regard" de ses amis. "J’ai beaucoup de connaissances, mais peu d’intimes. Je n’ai pas d’amis dans le métier à part Nikos Aliagas. La plupart se regarde trop le nombril pour moi (…) Quand je vois des animateurs qui présentent des émissions sociétales et se baladent en 4x4 blindé sans jamais côtoyer d’autres personnes que celle de leur milieu protégé, ça m’agace !", confie-t-il. Le seul qui semblerait trouver grâce aux yeux de Stéphane Bern serait ainsi l’historien, animateur et journaliste Franck Bernard, avec qui il partagerait "l’amour de l’histoire".
"J’ai un panthéon intérieur"
Fort de ces confidences, l’incollable sur le gotha est ensuite laissé aller à quelques confidences sur son enfance : "J’étais un petit gros à lunettes, très seul. J’étais très exotique, puisque dès l’âge de 8 ans, je me suis intéressé aux reines et aux rois. Les sarcasmes ont renforcé ma détermination. Je me suis battu pour prouver que je pouvais vivre de cette passion". Et d’assurer : "Aujourd’hui je tiens ma revanche". Et alors que son parcours à la télévision n’a rien à envier à celui des autres animateurs, Stéphane Bern a expliqué tenir sa force de ses proches qui sont décédés. "J’ai un panthéon intérieur où les morts m’aident à vivre. Ma mère, ma grand-mère, Jean-Claude Brialy… Le pire pour les morts, c’est l’oubli".