De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’ordinateur de Sid Ahmed Ghlam, l’homme accusé de fomenter un attentat terroriste dimanche dernier contre des églises à Villejuif, aurait commencé à parler. Selon M6, les enquêteurs auraient trouvé dans celui-ci un message pour le moins surprenant.
Sur Facebook, l’homme de 24 ans aurait fait part à une tierce personne, qui pourrait être un complice dans l’organisation de l’attentat prévu dimanche dernier, de son indécision quant à l’exécution de ce projet terroriste. "Je ne me sens pas prêt", aurait-il écrit sur le réseau social.
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Toujours selon la chaîne de télévision, "les messages échangés laisseraient entendre qu'un deuxième homme projetait de rejoindre Sid Ahmed Ghlam à Villejuif dimanche dernier". Un complice présumé qui expliquerait la présence de nombreuses armes découvertes dans son véhicule et à son domicile.
Une incertitude sans doute fatale au suspect
La fébrilité de Sid Ahmed Ghlam lui a sans doute fait perdre ses moyens au moment de commettre l’irréparable. Ce jour-là, l’homme avait en effet appelé le SAMU en prétextant que quelqu’un lui avait tiré à la jambe. Sur place, les secours découvrent l’homme ensanglanté et le transportent à l’hôpital.
Dans le même temps, des policiers viennent s’enquérir de l’histoire et découvrent dans la voiture, et au domicile du jeune homme, un arsenal de guerre : kalachnikov, gilet pare-balles, etc. Les policiers mettent alors la main sur des documents en arabe évoquant les organisations terroristes Al-Qaïda et l’Etat islamique, et découvrent que Sid Ahmed Ghlam était en contact avec une personne "pouvant se trouver en Syrie" et qui lui a demandé "explicitement de cibler particulièrement une église", selon les mots du procureur de Paris, François Molins.
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