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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapress
Alors que La France vient de célébrer le débarquement allié de 1944, le Premier ministre va commémorer ce mardi après-midi le 70e anniversaire du massacre d’Oradour-sur-Glane (Limousin) au cours duquel 642 civils furent exécutés. Manuel Valls doit notamment se recueillir dans l’Eglise en ruine où 450 femmes et enfants furent brûlés vifs par les soldats nazis.
De son côté, le chef de l’Etat s’est rendu ce lundi dans son fief corrézien pour commémorer les "99 pendus de Tulle". Face aux actes de sabotages de la Résistance, les Waffen SS avaient pendu aux balcons et lampadaires de la ville une centaine d'hommes, le 9 juin 1944.
Un massacre perpétré par les nazis
La folie meurtière dont se sont rendus coupables les soldats allemands de la Panzerdivision Das Reich de la Waffen-SS est restée dans les mémoires comme le plus important assassinat de masse sur des civils perpétré par les nazis.
Le déchainement d’une telle violence pose encore question à la justice mais aussi aux historiens. En effet, cette bourgade de 1574 habitants ne représentait pas d’objectif militaire particulier. Pourtant, la division allemande qui remontait vers la Normandie a massacré méthodiquement un village entier lequel n'avait procédé à aucun acte de résistance particulier.
Oradour-sur-Glane représente aujourd’hui un symbole de la barbarie nazie.
Vidéo sur le même thème : Oradour-sur-Glane: en amont de la visite du président allemand, le témoignage de deux rescapés – 04/09
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