La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le tribunal correctionnel de Nice (Alpes-Maritimes) a condamné Sébastien à une peine exemplaire : deux ans de prison ferme ainsi que six mois de sursis pour avoir mis le feu à son chat et pour l'avoir ensuite défenestré.
Lors d'une soirée houleuse avec sa compagne dont il doutait de la fidélité, le trentenaire originaire de Nice a d'abord frappé sa compagne qui désirait rompre, avant de brûler son chat à l'aide d'alcool, puis de le jeter du septième étage de son immeuble. Toujours vivant après sa chute, l'animal avait dû être euthanasié pour mettre fin à ses souffrances.
Devant le tribunal, l'accusé s'est montré incapable d'expliquer ce qu'il avait fait, ne montrant aucune empathie pour les faits. "Ce n'est pas moi, je ne comprends pas comment j'ai fait ça", a-t-il dit. Puis il a ajouté "Je ne voulais pas le brûler, je voulais juste impressionner ma compagne".
Une dizaine d'organisations de défense des animaux se portent parties civiles
Plus d'une cinquantaine de personnes scandalisées étaient présentes devant le tribunal afin de dénoncer le martyre subi par ce chat, prénommé Griffin, âgé de 6 ans. Par ailleurs, une dizaine d'organisations de défense des animaux se sont constituées parties civiles. Plusieurs associations avaient porté plainte vendredi comme l'Association Justice pour les animaux, 30 millions d'amis, la SPA ou encore la Fédération Paca de la protection animale.