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"Je veux mourir", déclarait la semaine dernière Jeannette Bougrab au micro de la BBC. A nos confrères américaines, la compagne de Stéphane Charbonnier, dit Charb, confiait à quel point le décès de son "amoureux" lui était insupportable. Le dessinateur a été tué dans l'attentat à Charlie Hebdo commis le 7 janvier par les frères Kouachi. "Je veux mourir, et c’est très difficile pour moi à expliquer. Je préfère mourir et laisser Charb vivre, vous comprenez ?", expliquait l’ancienne secrétaire d’Etat sous Nicolas Sarkozy, profondément émue. Des mots forts qui témoignaient de la détresse dans laquelle elle se trouvait. Un chagrin auquel s’ajoutait le rejet dont elle fait l’objet de la part de la famille de Charb. Celle-ci a en effet démenti toute relation amoureuse entre deux.
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Elle n’a pas assisté aux obsèques de CharbUne situation trop difficile à supporter pour l’ex-membre du gouvernement. Selon les informations du Parisien, son état aurait nécessité qu’elle soit hospitalisée la semaine dernière. Admise à l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris, elle y serait restée plusieurs jours, jusqu’à samedi, croit savoir le journal. Jeannette Bougrab n’a donc pas assisté aux obsèques de celui qu’elle appelle "l’être aimé, l’être cher". Son inhumation a eu lieu vendredi à Pontoise (Val-d’Oise) en présence de sa famille, de survivants de l’attentat à Charlie Hebdo et de ministres. "Je ne vais gêner personne. Sa famille me prive d’une ultime rencontre avec mon amour", avait annoncé Jeannette Bougrab avant son hospitalisation. Je ne veux pas "rentrer dans cette mare de boue", avait par ailleurs argué celle qui partageait la vie de Charb, à propos de la polémique née autour de leur relation.