La fin de semaine et le week-end du 7 décembre seront marqués par un net refroidissement des températures et un risque de chutes de neige sur une bonne partie du pays. Voici, d'après les prévisions de La Chaîne...
Steven, un jeune Vannetais, dégustait des huîtres issues de sa commune avec son père, le 10 janvier dernier, lorsqu’il a découvert une perle de 6mm accrochée à la coquille. "J’ai percé la petite cloque qui s’était formée, de l’eau est sortie et la perle est tombée dans l’évier. Je savais que ça ne venait pas de moi car je n’ai pas de collier de perles", raconte l’heureux propriétaire, au journal Ouest-France
Il a donc récupéré la petite sphère et est allé chez le bijoutier pour confirmer la nature de sa trouvaille. Deux experts parisiens doivent également examiner la perle dans quelques semaines. L’objectif est de vérifier, par radiographie, s’il s’agit bien d’une perle fine ou une perle de culture.
Par la nature ou par la main de l'homme
Les perles fines sont issues d’un grain de sable qui a pénétré dans l’huître et que cette dernière n’a pas rejeté. "Il se forme alors de la nacre tout autour de ce grain. Ce qui va former une perle" décrit un bijoutier vannetais, cité par Ouest-France. A l’inverse, la perle de culture est introduite par la main de l’homme directement sous le "manteau" de l’huître pour créer une aspérité qui se couvrira de nacre avec le temps.
Trouver des perles n’est pas si rare : "On trouve des perles dans les huîtres creuses en Bretagne. J’en ai fait analyser une à Paris. En fait, ce n’est pas une perle mais une concrétion de nacre ou alors un grain de sable qui finit par se recouvrir de nacre. Et ça n’a pas de valeur !" explique Pierre Boudry, de l’unité physiologie fonctionnelle des organismes marins de l’Ifremer, l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer, repris par le journal.