Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
le suicide, le 21 mai devant l'autel de Notre Dame, de l'historien d'extrême-droite Dominique Venner dont il admirait les travaux.
Décrit comme "proche des idées de l’extrême-droite radicale", un miltaire de l’armée de l’Air avait pour projet d’attaquer la mosquée des Minguettes, à Vénissieux. Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, le jeune homme de 23 ans a été interpelé sur la base aérienne de Lyon-Mont Verdun, car il "avait projeté de tirer à l’arme à feu contre une mosquée de la région lyonnaise". Projet d’attentat à la fin du ramadanAu terme de quatre jours de garde à vue, commencée le 7 août dans les locaux de la direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), il aurait reconnu son projet d'attentat, qu'il avait l'intention de commettre le 8 août à l'occasion de la fin du ramadan. Il a ensuite été déféré devant la section antiterroriste du parquet de Paris, et mis en examen pour "détention de munitions de quatrième catégorie en relation avec une entreprise terroriste" et "dégradation de lieu de culte en relation avec une entreprise terroriste".Un récidivisteLe suspect "aurait par ailleurs violemment porté atteinte l'an dernier à une autre mosquée située dans la région bordelaise", ajoute le communiqué. Selon les autorités, l'homme aurait reconnu avoir lancé, dans la nuit du 20 au 21 août 2012, un cocktail molotov sur la porte de la mosquée de Libourne, en Gironde. Une attaque qui n'aurait fait que peu de dégâts et pas de victime.Proche des "milieux extrêmes"Selon une source proche de l'enquête, le jeune homme, solitaire et fragile psychologiquement, était dans une période difficile à la suite de déboires amoureux. Ce sont des proches qui ont signalé son cas aux autorités. Des documents trouvés en sa possession leur ont fait craindre une dérive extrémiste. De plus, le jeune homme aurait tenté à trois reprises, sans y parvenir, d'entrer en contact avec Maxime Brunerie, le jeune militant d'extrême-droite auteur, le 14 juillet 2002, d'une tentative d'attentat contre le président Jacques Chirac lors du défilé sur les Champs Élysées. Il aurait également été très touché par