De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Rendre la vie sexuelle plus fun". C'est la devise de la plateforme JOYclub, sur laquelle le magazine Néon a décidé de braquer les projecteurs. A toutes celles et ceux qui s'interrogeraient sur sa nature ; il s'agit bel et bien d'un site libertin, lequel organise désormais des lives grivois pour contourner le couvre-feu sans en ignorer les règles. Somme toute, ces amoureux de la passion ont trouvé comment faire de "[leurs] désirs une réalité", même cloitrés chez eux, expliquent nos confrères.
Cette plateforme sexualité 2.0 offre notamment la possibilité à ceux qui le souhaitent - couples ou non - de brancher leur caméra et de répondre aux questions des autres utilisateurs qui, d'après nos confrères, défilent sur le chat. Certaines portent sur les orientations sexuelles, d'autres sur le libertinage à proprement parler… D'une façon générale, les tabous n'ont pas leur place durant les lives, tant que sont invités consentement, bienveillance et respect mutuels. Chaque fétiche correspondant à ces critères est toléré par la modération, indique Néon.
En tout et pour tout, depuis juillet 2020, ces lives ont attiré plus de 160 000 personnes dans le monde.
Sexualité : à quoi servent les lives de JOYclub ?
Le site laisse peu de place au doute concernant son utilité : il s'agit avant tout d'encourager les internautes "à vivre leur sexualité de manière positive". Une tâche ardue qu'il s'est fixé dès 2005, lors de son lancement initial en Allemagne.
Dans le détail, il permet aux internautes d'en apprendre davantage sur certaines pratiques qui les intriguent, certains fétichismes qui les rendent curieuses ou curieux. Une fois inscrit(e), il permet aussi la mise en contact de partenaires, à l'issue d'un long questionnaire. Certaines rencontres se soldent par du sexe, mais ce n'est pas toujours le cas. Certains découvrent des ami(e)s, d'autres l'âme sœur, explique le bimestriel...