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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Halloween, la fête qui célèbre les costumes effrayants, les friandises et les soirées festives, est de plus en plus surveillée. Cette année, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a exprimé des inquiétudes quant à de possibles troubles lors de cette célébration, en faisant référence à des événements survenus lors de l'édition de 2022.
Ces mesures, qui concernent principalement la sécurité publique, visent à assurer la tranquillité et la sécurité des citoyens.
En France, Halloween n'est pas uniquement synonyme de bonbons et de costumes excentriques. Au cours des dernières années, des incidents ont été signalés à travers le pays, allant de véhicules incendiés à des atteintes aux forces de l'ordre et aux sapeurs-pompiers. Les émeutes d'Halloween de 2022 ont été particulièrement marquantes, ce qui a conduit le ministère de l'Intérieur à prendre des mesures préventives cette année.
Plusieurs facteurs préoccupants ont incité le ministre de l'Intérieur à demander une vigilance accrue en cette période d'Halloween. Tout d'abord, il a fait référence aux "événements survenus sur le territoire". Bien que ces événements ne soient pas spécifiquement nommés, il est probable qu'ils englobent les violences urbaines qui ont éclaté au début de l'été 2023. Dans de nombreux cas, les réseaux sociaux ont joué un rôle clé dans l'organisation de ces actes de violence, incitant ainsi les autorités à surveiller de près les activités en ligne.
Le deuxième facteur de préoccupation est le "contexte international", notamment le conflit au Proche-Orient entre Israël et l'organisation terroriste du Hamas. Cette tension internationale a suscité des inquiétudes quant à d'éventuelles répercussions en France, notamment des actes de violence liés à des motifs politiques ou religieux.
Un élément clé de la stratégie de prévention est la surveillance des réseaux sociaux. Après les violences urbaines de cet été, les forces de l'ordre et la justice ont intensément utilisé les plateformes comme Snapchat et TikTok pour identifier les auteurs de violences. Les autorités encouragent donc une "veille étroite des réseaux sociaux" pour anticiper toute incitation à la violence ou à des actes répréhensibles.
Découvrez à présent notre diaporama détaillant les diverses mesures d'interdiction mises en place localement pour prévenir de nouvelles émeutes.
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