De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Après Rachida Dati la semaine dernière, l’émission "Un jour, un destin" de France 2 était consacrée à Anne Sinclair dimanche soir. Un documentaire accompagné d’un entretien entre l’ancienne journaliste télé et Laurent Delahousse et au cours duquel, celle-ci n’a pas hésité à se livrer sur sa relation avec l’ancien directeur du Fonds monétaire international.
En mai 2011, DSK était accusé par une femme de chambre du Sofitel de New York de l’avoir sexuellement agressée. Une accusation qui a conduit le suspect à quitter ses fonctions à la tête du FMI et qui les a dirigé lui et son ex-épouse vers la rupture. "A aucun moment je ne me suis dit que c’était possible. Je n’y ai jamais cru, je n’y crois pas et je sais que c’est faux", a ainsi affirmé Anne Sinclair à Laurent Delahousse.
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"Il y avait surement une forme de déni chez moi"Mais si la journaliste n’a jamais eu aucun doute sur l’innocence de DSK – ce dernier ayant d’ailleurs bénéficié d’un non-lieu – elle lui reconnaît cependant des infidélités. "Quand j'ai épousé Dominique, je savais que c'était un charmeur, un séducteur. Et puis il y a eu les rumeurs. Elles sont faites pour détruire alors je les ai ignorées. J'ai eu des doutes mais il savait démentir et me rassurer (...) Et puis on ne quitte pas un homme quand il est à terre. Mais quand j'ai appris les choses dans les journaux... On flanche un peu. Il y avait surement une forme de déni chez moi. Sans doute n'ai-je pas voulu savoir, n'ai-je pas voulu voir ou chercher. Ce n'est pas mon tempérament, j'ai fait confiance", a expliqué Anne Sinclair. Et celle-ci de marteler qu’elle n’a jamais "accepté" les incartades de son ex-mari : "Les gens pensent que j’ai accepté, mais je répète que je savais rien. Je me battais aux côtés d’un homme injustement accusé".