La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Découverte macabre dans son jardin pour un jeune couple originaire du nord de la France. En achetant leur première maison à Saint-Antoine-De-Breuilh, en Dordogne, en juin 2016, deux trentenaires débarquant du nord de la France ne s’imaginaient pas tomber sur le cimetière des anciens propriétaires à quelques mètres de leurs fenêtres.
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Comme le rapporte Sud-Ouest, c'est en faisant réaliser des travaux d’épandage de la fosse sceptique qu'ils ont découvert des os humains dans le jardin. "Au départ, on croyait qu’il s’agissait de squelettes de l’époque gallo-romaine parce qu’il y a un site pas loin", confie le nouveau propriétaire de la maison. Le notaire, l’agent immobilier et les anciens propriétaires ont alors été alertés et les travaux arrêtés durant trois jours.
Un cimetière privatif
Les anciens propriétaires interrogés révèlent alors l'impensable, "la présence d’une dizaine de corps" étant "les anciens propriétaires de la maison et leurs aïeux". La dernière habitante de la maison, la grand-mère de la vendeuse du bien, avait en effet été enterrée ici en 1976. La maison, qui n’était plus habitée depuis 50 ans, devait posséder son cimetière privatif. Une pratique répandue dans ce territoire à tradition protestante.
L'avocat de la famille ayant vendu la propriété reconnaît "un oubli" dans le fait qu’elle n’a pas précisé aux acheteurs la présence de sépultures sur la propriété. L'actuel propriétaire précise qu'ils lui ont proposé "2 500 euros pour faire retirer seulement deux corps". Une proposition inenvisageable pour celui qui "veut être définitivement débarrassé de tous les corps". Le litige sera réglé devant la justice. Les deux familles sont convoquées au tribunal de Bergerac début 2018.