De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Quatre mois plus tard, cette mystérieuse disparition continue de troubler. La nuit du 15 décembre 2020, Delphine Jubillar se volatilisait dans des circonstances inconnues. Infirmière appréciée, mère de famille dévouée, nul ne comprend pourquoi cette femme de 33 ans disparait dans la nature à quelques jours des fêtes de fin d'année. Aujourd'hui, l'enquête semble au point mort et aucun élément ne nous laisse croire à l'existence d'un suspect ou d'une piste sérieuse. Dans un reportage consacré à l'enquête et relayé par Closer, TF1 revient sur ce fait divers intrigant.
Dans cette édition diffusée le dimanche 25 avril au journal de 13 heures, des voisins de Delphine Jubillar prennent la parole pour la première fois depuis le début de l'enquête. Dans le village de Cagnac-les-Mines, qui compte un peu moins de 3 000 âmes, l'affaire trouble énormément. "On se dit que ce n'est pas normal. Et puis ce qu'il y a c'est qu'on n'a encore rien trouvé...", explique un habitant, installé sur un terrain de pétanque. D'autres riverains, eux, évoquent le climat anxiogène qui règne désormais sur cette petite commune : "On ne sait pas si on a croisé la personne ou pas. On se dit 'Est-ce que c'est lui, pas lui ?'. Comme il y a toujours ce petit doute, et nous dans la région on a pas l'habitude de ça...", confie-t-il.
"Ils passent devant en fixant la maison"
D'autres, sont plutôt agacés par l'attention portée à leur village. "Je n'ai plus envie d'en parler, parce que plus on parle, plus on alimente les choses. Les gens en ont marre ici", déplore l'un des voisins. Et pour cause : depuis le début de l'affaire, un tout nouveau genre de tourisme a fait éruption à Cagnac-les-Mines. "Ils passent devant en fixant la maison. Il y en a d'autres qui s'arrêtent carrément, ils sortent les téléphones des poches, ils prennent en photo... Je pense que les gens sont un peu fouines, ils cherchent à tout savoir", déplore un voisin.