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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapress"Les troubles de l'élection, ça se soigne...". Voici le slogan trouvé par la mairie de Dijon pour inciter les jeunes à s'inscrire sur les listes électorales pour les prochaines municipales de 2014. Une affiche humouristique qui fait référence aux nombreuses publicités à la télévision traitant de l'impuissance sexuelle. L’édile PS de la ville bourguignonne, François Rebsamen, a donc décidé de lancer cette campagne publicitaire sur les réseaux sociaux. Et ça marche ! Sur Twitter, de nombreuses personnes ont repris cette campagne d’information. A tel point que le sénateur-maire François Rebsamen a repris sur son compte tous les tweets qui faisaient allusion au sien.Une copie de nos voisins Belges ?Cette campagne novatrice a donc fait le buzz sur la Toile. Toutefois selon certains internautes, cette fameuse phrase sur les "troubles de l’élection" a déjà été utilisée l’année dernière en Belgique dans une campagne publicitaire du Conseil des femmes francophones pour dénoncer le faible nombre de femmes maires dans la monarchie constitutionnelle de Bruxelles. Le slogan disait alors ceci : "Vous aussi, vous souffrez de troubles de l'élection ? Dès l'âge de 18 ans, un grand nombre de citoyens souffre de troubles de l'élection. Une affection qui se traduit par une méfiance injustifiée à l'égard des femmes politiques".
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