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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Delphine Jubillar demeure introuvable. Près d'un mois après sa mystérieuse disparition, impossible de savoir ce qui est arrivé à cette infirmière de 33 ans, travaillant dans une clinique à Albi. Si la piste criminelle est aujourd'hui privilégiée, de nombreuses questions restent sans réponse. À ce jour, les recherches policières et battues citoyennes n'ont rien donné. La maison de la disparue, située à Cagnac-les-Mines dans le Tarn, est aujourd'hui fermée sous scellés judiciaires. Cédric, le mari de Delphine, ainsi que leurs deux enfants, ont du quitter le logement et vivre chez de la famille le temps des recherches.
Fouillée à trois reprises, les recherches au sein du domicile n'ont encore rien donné à notre connaissance. Toutefois, selon Closer, la voiture de Cédric Jubillar a fait l'objet d'analyses. En outre, le téléphone portable du mari de la disparue doit être examiné. L'objectif ? Explorer "ses recherches Internet et retracer d'éventuels déplacements mémorisés dans l'appareil". Pour rappel, le père du petit Louis, six ans, s'est constitué partie civile dans l'affaire de la disparition de sa femme.
Rappelons que Cédric Jubillar n'est pas suspecté d'être à l'origine de la disparition de sa femme, et ce malgré les comparaisons infondées faites avec l'affaire Daval sur les réseaux sociaux. Si la trentenaire entretenait également une relation épistolaire et virtuelle avec un autre homme, ce dernier a également été mis hors de cause par les forces de l'ordre. D'ailleurs, il ne croit pas particulièrement non plus que Cédric ait quelque chose à voir avec la disparition soudaine de Delphine.
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