Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
The Astrophysical Journal, une équipe américano-danoise vient d’annoncer avoir pratiqué une nouvelle analyse des données de Kepler dans un but bien précis : celui de mettre la main sur des exoplanètes à révolution ultra-courte, c’est-à-dire des astres qui font le tour de leur étoile en moins d’une journée (selon nos jours terrestres), voire en moins d’une demi-journée. Une année en 8h30 Ainsi, après avoir passé en revue les quelques 150 000 étoiles surveillées par Kepler, l’équipe américano-danoise s’est retrouvée avec une vingtaine de candidates. Parmi elles, une planète si proche de son étoile qu’elle en fait le tour en 8 heures et demie. Une année sur cette planète dure donc 8h30, contre 365 jours pour la Terre et 88 jours pour Mercure, la planète de notre système solaire la plus proche du Soleil. "Nous ne survivrions pas là-bas" Baptisée Kepler-78b, cette planète n’est pas habitable et possède un sol recouvert par un océan de lave. Comme le résume Joshua Winn, astrophysicien au MIT et co-auteur de l'étude, "il faut vraiment tirer sur son imagination pour envisager une vie dans un monde de lave. En tout cas, nous ne survivrions pas là-bas". De plus, la température qui règne à sa surface est comprise entre 2 000 et 2 800 degrés. Autrement dit, il ne vaut mieux pas mettre les pieds sur cette planète.
Scrutant l’univers depuis 2009, le télescope spatial Kepler n’en finit plus de combler les astronomes. Dans une étude publiée le 16 août par