De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
A Davos, le sommet économique a souvent été boudé par les hommes d’État français. Réunissant le gratin des chefs d'entreprise internationaux, les rares présidents ayant accepté l'invitation ont eu de mauvaises surprises...
Jacques Chirac, premier à franchir le pas Si ses prédécesseurs avaient complètement ignoré les multiples invitations, en 2005, Jacques Chirac est le premier à passer outre les connotations ultralibérales du forum suisse. Seulement, le jour de son départ, une tempête de neige de grande ampleur s'abat sur la région parisienne, empêchant par la même occasion l'avion présidentiel de décoller. Une fois encore, le président de la République ne parvient pas à rencontrer les financiers. Le discours est malgré tout maintenu, par vidéoconférence.
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Nicolas Sarkozy défie les hommes d'affaires Cinq ans après l'acte manqué de son prédécesseur, le président de la République en exercice se rend à Davos. En cette fin de janvier 2010, Nicolas Sarkozy entreprend un discours sur la morale des acteurs économiques. Ni applaudi, ni même écouté, il ironise : "je remercie les deux personnes qui ont applaudi", rapporte Rue 89.
Le premier président de gauche à Davos A son tour, François Hollande a récemment répondu à l'invitation. S'il l'avait déclinée les deux années passées, il semble avoir écouté les déclarations de Jacques Attali. "Davos, c'est la machine à café du monde, l'endroit où s'échangent des idées", avait-il déclaré l'année dernière, écrit France info. Reste à savoir si le premier président français de gauche à assister au fameux forum parviendra à enchanter les quelques 1500 hommes d'affaires attendus lors de son discours. Un discours qui, malédiction oblige, a été reporté de 11h15 à 14h15 à cause des intempéries.
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