Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
On prend les mêmes et on recommence. Le Premier ministre Jean Castex a fait un point sur l'épidémie de coronavirus Covid-19 jeudi 4 février au soir, lors d'une conférence de presse en présence du ministre de la Santé Olivier Véran. Le locataire de Matignon a notamment déclaré que "la circulation du virus n'a pas sensiblement augmenté au cours des deux dernières semaines". Il n'y a donc pas lieu, pour l'exécutif, de définir de nouvelles restrictions pour les prochains jours, alors même que les vacances d'hiver débutent ce vendredi 5 février.
Coronavirus : "Nous n'hésiterons pas à prendre nos responsabilités"
Jean Castex a expliqué ce choix en indiquant que "la situation sanitaire ne le [le confinement, NDLR] justifie pas à ce jour : notre niveau d'incidence est certes élevé mais il reste encore très inférieur à ce qu'il était en octobre dernier, alors même que nous dépistons toujours autant". Comme toujours, rien n'est joué et le Premier ministre a rappelé que d'autres options, encore plus contraignantes, restaient sur la table : "Si nous y sommes contraints, nous n'hésiterons pas à prendre nos responsabilités. Notre responsabilité n'est pas de retarder cette échéance mais de tout mettre en oeuvre pour l'éviter".
Si les indicateurs de l'épidémie n'inquiètent pas le gouvernement au niveau national, certains départements continuent toujours de lutter contre une seconde vague qui n'en finit plus. La situation dans les hôpitaux est plus tendue dans certains départements que dans d'autres, qui font même face à un nombre d'hospitalisations plus importants que lors de la première vague, explique le site CovidTracker. Découvrez, dans le diaporama ci-dessus, les 56 départements où la situation actuelle - au niveau des hospitalisations - est pire que lors du pic de la première vague, en avril 2020.