De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Fausses vidéos et fausses images
Alors que la Belgique était frappée par plusieurs attentats au sein de sa capitale, à l’aéroport et dans le métro, de fausses informations ont filtré sur la toile, ajoutant à la psychose ambiante. Plusieurs photos et vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux et sur plusieurs chaînes de télévision françaises. Ces images, censées montrer le moment de l’explosion à l’aéroport, datent en fait d’années antérieures.
Ici, une vidéo montrant une explosion dans un aéroport et diffusée depuis hier, date en fait de 2011, lors de l’attentat suicide de l’aéroport Moscou-Domodedovo en Russie, qui avait fait 36 morts.
Une vidéo des attentats en Biélorussie en 2011
Une autre vidéo d’attentat dans un aéroport a circulé. Mais ces images ont été tournées à Minsk, en Biélorussie, lors d’un attentat survenu en avril 2011, d’après 20 Minutes.
Attentat, en 2004, du métro de Madrid en Espagne
Une autre vidéo diffusée prétend ainsi montrer l’explosion dans le métro de Bruxelles. Il s’agit en fait d’un enregistrement datant de 2004, lors de l’attentat dans le métro de Madrid en Espagne.
Les détonations étaient en fait des explosions maîtrisées
Enfin, plusieurs détonations ont été entendues dans la capitale, notamment dans la rue de la Loi vers 11h20 affolant la population. Il s’agissait en réalité de la destruction d’un colis suspect par les équipes de déminages.
Fausses alertes d'attentats
Une fausse alerte de fusillade dans le quartier des Sablons à Bruxelles a été lancée dans plusieurs médias. La station Belgica ou d'autres rues et arrêts de métro de la capitale ont été également évoqués, mais, une fois encore, il ne s’agissait que de rumeurs, très vite démenties par les médias belges.
Des comptes djihadistes sèment la terreur sur les réseaux sociaux
Plusieurs fausses alertes ont également circulé juste après les attentats, créant ainsi une psychose. Certaines d’entre elles étaient lâchées sur Twitter via des comptes djihadistes pour répandre la terreur, rapporte Le Monde.