La prime de Noël est versée à plus de deux millions de ménages éligibles sous conditions chaque année. Découvrez le montant auquel elle s’élève cette année.
Plus d’un mois après la disparition de Maëlys, neuf ans, lors d’une fête de mariage en Isère, Nordhal L. est toujours considéré comme le principal suspect. Mis en examen et écroué, il continue pourtant de nier son implication dans cette affaire. Aussi, pour aider les enquêteurs avancer, sa mère, Christiane, s’était engagée la semaine dernière à aller le voir à un parloir pour tenter de le faire parler. "Dès que je pourrai aller voir mon fils en prison, je vais lui parler et lui dire : ‘Si tu as vu quelque chose, il faut le dire’, avait-elle assuré. Et s’il me lâche quelque chose, j’en ferai part, c’est sûr". Et celle-ci d’insister : "J’en aurai trop sur la conscience de ne rien dire. Je comprends la souffrance des parents de Maëlys, je suis une mère avant tout".
A lire aussi –Affaire Maëlys : pourquoi la station de lavage est au cœurs des recherches
"Il ne pourrait pas me mentir jusqu'à ce point-là"
On apprend ce vendredi matin, que Christiane L. est bien allée rendre visite à son fils et qu’ils ont parlé de la disparition de la fillette. "Il m'a affirmé encore une fois qu'il était innocent. Il m'a dit 'Maman, je te le jure, je te l'assure, les yeux dans les yeux'. Et je le crois", a rapporté la mère de famille au Parisien. Désormais convaincue de l’innocence de son fils, elle a ajouté : "Je pense que s'il était coupable de quelque chose, il aurait la tête qui changerait. Il serait différent. Il ne pourrait pas me mentir jusqu'à ce point-là. S'il y avait eu le moindre doute, moi, je l'aurais ressenti. Mais là, non. On s'est embrassé, on s'est pris dans les bras, on était heureux tous les deux". Et alors que les recherches se poursuivent et que de nouveaux plans d’eau située à proximité du domicile de Nordhal L. sont actuellement sondés, Christiane L. a estimé : "Mais il ne va pas se rendre coupable de quelque chose qu'il n'a pas fait s'il est innocent".
En vidéo - Un mois après la disparition de Maëlys, où en est l'enquête ?