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© abacapressRachida Dati a assigné ce lundi devant le juge des référés de Versailles la maison d’édition 12Bis, éditeur de la bande dessinée Rachida, au nom des pères, qui doit paraître vendredi. Selon l’assignation déposée par l’ancienne ministre, et consultée par l’AFP, Rachida Dati va demander l’interdiction de la publication de cette BD. Elle demande également 100 000 euros de dommages et intérêts pour elle et sa fille. « Ce thème touche à une des parties les plus intimes de la vie privée de Madame Dati comme de celle de sa fille » indiquent ses avocats, pour qui il est question d’une « atteinte grave » que « l’humour ou la caricature ne suffisent pas à excuser ».
« Une icône de la diversité qui rêve de sommets »
« A défaut d’interdiction », Rachida Dati entend réclamer la publication d’un bandeau précisant, sur chacun des exemplaires, que l’ouvrage porte atteinte à sa vie privée, ainsi qu’à celle de sa fille. L’audience est prévue ce mardi à 14 heures.
Ecrite par le journaliste Yves Derai, déjà auteur d’une biographie sur la maire du VIIe arrondissement de Paris, cette bande dessinée retrace le parcours de Rachida Dati, cette « icône de la diversité qui rêve de sommets », et « prête à tout pour les atteindre » selon les mots de l'éditeur. Comme son titre l’indique, la BD s’intéresse surtout à la question de la paternité de Zora, sa fille.
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