La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
L'heure est encore aux changements au gouvernement. Après la démission d'Elisabeth Borne dans la soirée de lundi, c'est donc le "jeune" Gabriel Attal qui a été nommé Premier ministre ce mardi 9 janvier. Même les oppositions des partis alliés de la majorité présidentielle, le MoDem de François Bayrou et Horizons d'Edouard Philippe, ne sont pas parvenus à dissuader Emmanuel Macron dans son choix.
Qui dit nouveau chef du gouvernement, dit nouvelle équipe gouvernementale. Et la composition de celle-ci doit également être révélée dans les heures voire dans les jours à venir. Ce qui est certain, c'est que les membres du gouvernement doivent être nommés avant le prochain Conseil des ministres. Ce dernier, qui devait se tenir ce mercredi 10 janvier, a finalement été reporté (à la dernière minute) à la suite de la décision d’Emmanuel Macron de nommer un nouveau Premier ministre, précise La Dépêche.
Simple changement ou remaniement d’ampleur en approche ?
Une sélection sur laquelle il y a encore peu d'indices. La rapidité du remaniement ministériel pourrait être le signe de peu de changements. Toutefois, le nouveau chef de l'exécutif pourrait réserver des surprises et propulser de nouveaux noms au gouvernement, imaginait BFMTV. Découvrez dans notre diaporama ci-dessous, ceux susceptibles d’obtenir un poste au sein du futur gouvernement Attal.
Dans ce remaniement ministériel, certains membres de la macronie, à l’instar de députés ou de conseillers, pourraient se voir promu et obtenir une place au sein d’un nouveau gouvernement. Le Premier ministre lointainement issu de la gauche pourrait, sur conseil ou ordre d'Emmanuel Macron, tendre une main à l'aile gauche de la macronie divisée du reste du groupe depuis le vote de la loi immigration. Le remaniement pourrait finalement être une affaire d'équilibre entre réconciliation avec l'aile gauche et portes ouvertes vers la droite dans une logique de "en même temps" avec laquelle le chef de l'Etat semble vouloir poursuivre son mandat.