De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’ex-président de la République s’est projeté mercredi dernier en 2017. Evoquant la présidentielle à venir, Nicolas Sarkozy se serait emporté devant des visiteurs : "il n’est pas question que l’on m’impose une primaire contre Ducon et Durien !", a rapporté le Canard Enchaîné. Or, comme l’indique l'hebdomadaire, les deux adversaires de Nicolas Sarkozy risquent d’être Alain Juppé et François Fillon. Jean-François Copé serait d'ores et déjà mis de côté.
Copé seul contre tous
Le maire de bordeaux s’était exprimé la semaine dernière devant les syndicalistes de l’UMP. Selon lui, "Jean-François Copé ne sera plus président de l’UMP en septembre. C’est clair pour tous et sans doute pour lui aussi". Outre la volonté d’éviction qui plane sur le président du parti de droite de la part des "quadras" de l’UMP (NKM, Baroin, Le Maire…), Jean-François Copé se retrouve également embarqué dans l’affaire Bygmalion. Il est accusé d’avoir surfacturé des évènements en marge de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012. Toujours selon le journal satirique, Jean-François Copé peut se rassurer en se disant qu'il ne sera pas, à priori, ni "Ducon", ni "Durien".
Sarkozy prêt à "redresser le pays"
Pour l’ancien chef de l’Etat, "François Hollande est foutu". En effet, il considère qu’avec "seulement 18% de popularité, il ne pourra mener à bien aucune réforme". Et Nicolas Sarkozy se verrait déjà revenir : "j’irai dire aux Français : ‘je suis prêt à me retrousser les manches et à redresser le pays avec vous’".
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