De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Lundi 18 avril, 8h30 : Tepco, l'opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima a déclaré que la centrale serait sous contrôle d'ici six mois.
Mercredi 13 avril, 6h : Le premier ministre japonais a déclaré que la situation dans la centrale de Fukushima se stabilisait "pas à pas".
Mardi 12 avril, 8h00 : Nouveau séisme d'une magnitude de 6,3 sur l'échelle de Richter dans la préfecture de Fukushima.
Le niveau de l'accident nucléaire est relevé à 7, le degré maximal, semblable à celui de Tchernobyl.
Jeudi 7 avril, 16h30 : Nouveau tremblement de terre de magnitude 7,4 au nord-est du Japon, une alerte au tsunami est lancée.
Jeudi 31 mars, 11h : Nicolas Sarkozy est arrivé au Japon.
Jeudi 31 mars, 6h30 : La centrale nucléaire de Fukushima sera démantelée, selon le Premier ministre japonais.
Dimanche 27 mars, 22h23 : Nouveau séisme de magnitude 6,5 au large du nord-est du Japon. Une mise en garde au tsunami a été lancée pour la côte de la préfecture de Miyagi.
Vendredi 25 mars, 7h00 : La cuve du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima serait peut-être endommagée.
Mercredi 23 mars, 9h30 : Une fumée noire s'échappe du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima.
Mercredi 23 mars, 9h00 : Deux nouvelles secousses ont été ressenties au nord-est du Japon. La centrale nucléaire de Fukushima ne semble pas avoir subi de nouveaux dégâts.
Un taux de radioactivité anormalement élevé a été mesuré dans l'eau du robinet de Tokyo. Les autorités conseillent de ne plus en faire boire aux nourrissons.
Lundi 21 mars, 11h : Une fumée blanche s'échappe du réacteur 2 de la centrale Fukushima.
Lundi 21 mars, 6h55 : De la fumée s'échappe du réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima. Le personnel de la centrale évacue.
Vendredi 18 mars, 14h20 : Pour empêcher un nuage radioactif de se former, une solution semblable à cette de Tchernobyl pourrait être envisagée. Il s'agit d'enfouir la centrale sous du salbe et du béton.
Vendredi 18 mars, 10h20 : Les câbles des réacteurs 1 et 2 de la centrale de Fukushima devraient rebranchés aux générateurs samedi matin.
Vendredi 18 mars, 10h00 : Selon le Japon, les accidents sur les réacteurs ne sont pas de niveau 6 comme l'avait déclaré l'Autorité de sûreté nucléaire mais 5.
Jeudi 17 mars, 12h39 : Nicolas Sarkozy a déclaré qu'il souhaite se rendre au Japon "dès que possible", "en signe de solidarité".
Jeudi 17 mars, 12h35 : Deux camions de l'armée arrosent le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Fukushima.
Jeudi 17 mars, 11h50 : Le canon à eau est inutilisable près de la centrale nucléaire de Fukushima à cause des radiations.
Jeudi 17 mars, 9h00 : Plus de 5 000 morts et 8 600 disparus pour la ville de Ishinomaki au nord-est du Japon, selon un bilan officiel.
Les hélicoptères de l'armée reprennent l'opération de refroidissement du réacteur 3 de la centrale de Fukushima en y déversant de l'eau.
Mercredi 16 mars 18h23 : les prochaines heures seront "cruciales" selon Nicolas Sarkozy.
Mercredi 16 mars 17h56 : Anne Lauvergeon, patronne d'Areva, déclare que "nous sommes dans l'urgence absolue" concernant la situation de la centrale de Fukushima Daiichi.
Mercredi 16 mars 17h53 : Dernier bilan officiel : 4 314 morts, 8 606 disparus.
Mercredi 16 mars 17h41 : L'Union européenne recommande un contrôle du taux de radioactivité pour les aliments importés du Japon.
Mercredi 16 mars 16h36 : "Il pourrait y avoir des retombées radioactives dans l'hémisphère Nord et en petite partie en France mais sans risque sanitaire" annonce Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Environnement, à l'Assemblée nationale.
Mercredi 16 mars 16h11 : Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Environnement, annonce à l'Assemblée nationale que "la radioactivité ne devrait pas atteindre les pays lointains".
Mercredi 16 mars 13h18 : La Croix-Rouge signale qu'il n'y a pas de risques radioactifs à Tokyo.
Mercredi 16 mars 13h14 : Les autorités japonaises envisagent l'utilisation de canons à eau pour refroidir le réacteur 4 de la centrale de Fukushima.
Mercredi 16 mars 12h44 : François Baroin, porte-parole du gouvernement, annonce à la sortie du Conseil des ministres que "dans le pire des scénarios, l'impact de la situation au Japon serait pire que Tchernobyl".
Mercredi 16 mars 12h22 : deux avions militaires français seraient en route pour rappatrier les Français qui le demandent. Actuellement entre 400 et 500 personnes seraient inscrites pour rentrer dès jeudi ou vendredi.
Mercredi 16 mars 12h03 : la ministre de l'Economie Christine Lagarde a demandé une réunion du G7 pour discuter de la situation financière du Japon, très en difficulté dans sa lutte contre la catastrophe nucléaire.
Mercredi 16 mars 12h00 : La préfecture de Fukushima aurait à nouveau réalisé des relevés dans les réseaux d'approvisionnement en eau : il n'y aurait pas de césium, contrairement aux relevés effectués plus tôt dans la matinée.
Mercredi 16 mars 11h20 : Les fortes chutes de neige au nord-est du Japon compliquent les opérations de sauvetage.
Mercredi 16 mars 11h16 : Le personnel de Fukushima peut reprendre les opérations de refroidissement, le taux de radioactivité ayant diminué.
Mercredi 16 mars 10h22 : Les hélicoptère ne peuvent pas verser de l'eau sur le réacteur 3 de Fukushima en raison de la radioactivité.
Mercredi 16 mars 10h06 : Ykio Edano, secrétaire général du gouvernement japonais annonce qu'en dehors de la zone de 20 km autour de la centrale de Fukushima Daiichi, il n'y a pas de "risque immédiat pour la santé".
Mercredi 16 mars 9h35 : Le personnel de la centrale de Fukushima ne peut pas reprendre les opérations pour refroidir les réacteurs, car le risque radioactif est trop important pour leur santé. Mais sans ce refroidissement à l'eau, la partie découverte du combustible pourrait conduire à un éclatement des gaines et à des rejets radioactifs dans l'atmosphère.
Mercredi 16 mars 9h06 : Henri Proglio, patron d'EDF, est prêt à envoyer des "équipes" et du "matériel" pour venir en aide au Japon.
Mercredi 16 mars 8h52 : On a découvert des traces de césium et d'iode dans les réseaux d'eau de Fukushima. Il n'y aurait pas de risque sanitaire pour le moment.
Mercredi 16 mars 8h50 : Alors que l'Empereur du Japon ne s'était pas encore exprimé, il a pris la parole ce matin pour prier "pour la sécurité du plus grand nombre de gens" et se dire "profondément préoccupé".
Mercredi 16 mars 8h12 : La pression a baissé dans le réacteur 2 de Fukushima Daiichi. Les températures se sont également stabilisées.
Mercredi 16 mars 7h40 : Des hélicoptères de l'armée vont essayer de refroidir le réacteur numéro 3 de la centrale de Fukushima Daiichi en lui versant de l'eau dessus.
Mercredi 16 mars 7h30 : Les vents devraient repousser les particules radioactives vers l'océan Pacifique. C'est plutôt une bonne nouvelle pour le Japon, mais pas pour la Russie et l'Alaska qui pourraient recevoir des particules d'ici la fin de semaine.
Mercredi 16 mars 7h10 : Les relevés effectués au nord de Tokyo indiquent que le taux de radioactivité est 300 fois supérieur à la normale. Les autorités signalent que ce taux n'aurait pas de conséquences sur la santé.
Mardi 15 mars 22h : 2 brèches sont apparues dans l'enceinte de confinement du réacteur n°4 de Fukushima, suite à l'incendie qui s'est déclaré mardi. L'Agence internationale de l'énergie atomique confirme que des substances radioactives ont été libérées directement dans l'atmosphère.L'enceinte de confinement du réacteur n°2 n'est plus étanche suite à l'explosion intervenue plus tôt dans la journée.Le niveau de la radioactivité dans la région nord-est et Tokyo a "considérablement augmenté", selon le premier ministre japonais Naoto Kan.
Mardi 15 mars 18h : Le commissaire européen à l'énergie n'hésite pas à parler "d'apocalypse" pour l'accident nucléaire à Fukushima et estime que tout est " pratiquement hors de contrôle"
Mardi 15 mars, 16h00 : Tepco envisage d'injecter de l'eau par hélicoptère dans réacteur 4 de la centrale de Fukushima.
Mardi 15 mars, 14h40 : Fort séisme ressenti à Tokyo.
Mardi 15 mars, 13h00 : L'accident nucléaire de Fukushima est de niveau 6 sur une echelle de 7.
Nicolas Sarkozy affirme que les événements au Japon sont "absolument dramatiques", "d'une ampleur considérable" et qu'il ne faut "en aucun cas les minimiser".
Mardi 15 mars, 12h00 : Selon l'Organisation météorologique mondiale, les vents éloignent vers le large la menace de radioactivité sur le Japon
Mardi 15 mars, 11h00 : Le réacteur 4 de la centrale nucléaire Fukushima 1 est en feu.
Mardi 15 mars, 9h00 : La ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré sur RMC "on s’achemine vers une catastrophe", ajoutant qu'une "réunion de crise" sur le nucléaire aurait lieu "dès que possible".
Le taux de radioactivité mesuré 100 km au nord de Tokyo ce matin est 10 fois supérieur à la normale.
Mardi 15 mars, 8h46 : Alain Juppé affirme que le risque nucléaire est "extrêmement élevé" au Japon.
Mardi 15 mars, 6h00 : Une "grosse explosion" s'est produite dans le bâtiment qui abrite le réacteur 2 à Fukushima, selon Tepco.
"Le niveau de radioactivité a considérablement augmenté" sur le site de la centrale, a déclaré le Premier ministre japonais, Naoto Kan, à la télévision.
Lundi 14 mars, 12h : Dans la centrale Fukushima 1, deux explosions se sont produites au niveau du réacteur 3. Le réacteur n'est cependant pas endommagé.
La compagnie TEPCO (The Tokyo Electric Power Company) admet la possibilité que le combustible du réacteur 2 a pu un temps entrer en fusion à cause d’une panne du système de refroidissement.
2 000 corps ont été découverts sur les côtes de la province de Miyagi.
Lundi 14 mars, 2h00 : Nouveau tremblement de terre à 150 km de Tokyo.
Voir les photos du Japon avant et après la catastrophe.
Dimanche 13 mars : Le Premier ministre japonais déclare que le pays fait face à "sa plus grave crise en 65 ans, depuis la Seconde Guerre mondiale".
A 120 kilomètres au nord-est de Tokyo, à la centrale de Tokai, numéro 2, une pompe à eau du système de refroidissement de la centrale nucléaire est en panne, mais celle de secours fonctionne et le réacteur est refroidi.
Samedi 12 mars, 7h36 : Une explosion a lieu dans la centrale nucléaire de Fukushima numéro 1.
Plus de détails dans notre article Japon : vers une catastrophe nucléaire ?
Vendredi 11 mars, 23h56 : Une autre centrale nucléaire de la préfecture de Fukushima connaît un problème de refroidissement.
Vendredi 11 mars, 22h58 : Un niveau de radioactivité 1 000 fois supérieur à la normale mesuré dans la salle de contrôle du réacteur numéro 1 de la centrale nucléaire Fukushima.
Vendredi 11 mars, 22h40 : Un taux de radioactivité huit fois supérieur à la moyenne et une fuite radioactive a lieu dans la centrale nucléaire de Fukushima.
Les chiffres d'une commission de sécurité sont, eux, beaucoup plus alarmants et mesurent une radioactivité 1 000 fois supérieure à la normale.
Le Premier ministre japonais fait évacuer la population 10 kilomètres autour de la centrale.
Vendredi 11 mars, 20h10 : Nouveau séisme de magnitude 6,6 dans la préfecture de Niigata.
Vendredi 11 mars, 19h17 : Une petite fuite nucléaire est déclarée possible dans la centrale de Fukushima.
Vendredi 11 mars, 15h45 : Le niveau des eaux de refroidissement de la centrale nucléaire de Fukushima a baissé. 6 000 habitants de la zone doivent évacuer dans un rayon de trois kilomètres.
Vendredi 11 mars, 14h53 : Un Tsunami touche les côtes Hawaii.
Vendredi 11 mars, 13h22 : 2 000 habitants sont évacués dans un rayon de 3 kilomètres de la centrale Fukushima.
Vendredi 11 mars, 11h55 : 11 réacteurs nucléaires japonais se sont arrêtés.
Vendredi 11 mars, 11h10 : Début d'incendie dans la centrale nucléaire d'Onagawa dans la préfecture de Miyagi.
Vendredi 11 mars, 10h37 : Le Premier ministre du Japon déclare qu'il n'y a pas de fuite radioactive dans les centrales nucléaires japonaises.
Vendredi 11 mars, 8h15 : Une vague de 10 mètres atteint la ville de Sendai sur les côtes japonaises.
Vendredi 11 mars, 7h29 : Les vagues qui atteignent les côtes pacifiques du Japon font plus de quatre mètres.
Vendredi 11 mars, 7h22 : Nouveau tremblement de terre au nord-est du Japon (à 15h20, heure locale).
Vendredi 11 mars, 7h16 : Des vagues de plus en plus grosses, d'un mètre de haut, atteignent les côtes japonaises.
Vendredi 11 mars, 6h56 : Suite au tremblement de terre, une alerte tsunami est lancée.
Vendredi 11 mars, 6h46 : Un séisme de 8,9 sur l'échelle de Richter frappe le nord-est du Japon.