La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Dans un article publié dans le magazine Challenges, le journaliste Bruno Roger-Petit veut voir dans le départ d’Agnès Saal, PDG de l’Institut National de l’Audiovisuel (INA), le résultat d’un conflit sous-jacent entre l’actuel et l’ancien ministre de la Culture : Fleur Pellerin et Aurélie Filippetti.
La semaine dernière, poussée par Fleur Pellerin vers la sortie, Agnès Saal était contrainte de démissionner de son poste à la tête de l’INA en raison de factures trop élevées concernant ses trajets en taxis. Selon le journaliste, elle aurait été débarquée "parce que les faits étaient accablants pour celle qui avait été nommée par son amie, Aurélie Filippetti (…) en remplacement de Mathieu Gallet."
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Une désignation "d’une proche" qui relève "du fait du prince", selon ce dernier qui ajoute qu’Agnès Saal a été choisie par Aurélie Filippetti parce qu’elle "avait joué un rôle important dans l’animation de ses réseaux parisiens quand elle était députée de Moselle". Un choix qui se serait fait au détriment de "candidats réputés plus compétents en matière de télévision."
Filippetti : "La procédure a été faite de manière transparente"
Des accusations qui ont fait bondir la principale incriminée. Dans une série de tweets, l’ancien ministre de la Culture a veillé à répondre point par point au journaliste.