SociétéAssurance chômage: ces nouvelles règles pénalisantes pour les seniors
De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
AFPProche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de la République lui a donné un conseil inattendu pour les prochaines élections présidentielles. Le chef de l'État va-t-il suivre son idée ?
Nicolas Sarkozy a l’oreille d’Emmanuel Macron. Ces derniers mois, l’ancien président de la République a été décrit à plusieurs reprises comme un conseiller de l’ombre du chef de l’État, un proche interrogé dans les moments de doute, dans les phases de crise. Une proximité qui a été renforcée depuis le début du confinement, explique Le Point. Selon l’hebdomadaire, Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy ont récemment évoqué l’avenir du premier et même parlé d’un second mandat. "Nicolas Sarkozy a récemment conseillé à Emmanuel Macron de faire de la suppression du poste de Premier ministre l’une des promesses choc de sa campagne en 2022", écrit le magazine.
"Nommer à Matignon un fidèle"
Si le chef de l’Etat se garde bien d’afficher ses ambitions pour la suite, il est tout de même à l’écoute de certains conseils. L’idée de Nicolas Sarkozy tombe à pic, alors que les rumeurs de remaniement vont bon train depuis plusieurs semaines. Après trois ans à Matignon, Edouard Philippe pourrait être remplacé par un autre membre du gouvernement ou par un proche du chef de l’État. C’est en tout cas ce qu’a conseillé Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron, explique Le Point : "L’ancien président suggère de nommer à Matignon un fidèle, pour achever le quinquennat en toute tranquillité. Son candidat idéal ? Alexis Kohler, le secrétaire général de l’Elysée". S’il travaille dans l’ombre, ce dernier est un indispensable du président et pourrait donc bien passer à la lumière dans les prochaines semaines.
Par le passé, Nicolas Sarkozy a déjà mis en garde Emmanuel Macron sur les relations entre un président et son Premier ministre. "Quand tu nommes ton Premier ministre, il te déteste au bout de six mois. Si tu le vires, il te déteste encore plus. Et le nouveau te déteste au bout de six mois aussi !", aurait-il affirmé, dans des propos rapportés par Le Point au mois de mai. Une mise en garde qui pourrait bien être tirée d’une expérience personnelle : les relations entre Nicolas Sarkozy et son Premier ministre François Fillon ont été faites de moments compliqués durant leur collaboration, de 2007 à 2012.
