Le bronzage d’Emmanuel Macron taclé par un sénateurAFP
Pendant le confinement, le bronzage du président a causé un grand nombre de réactions chez les internautes. Le sénateur Bruno Retailleau n'a pas hésité à critiquer le teint hâlé d'Emmanuel Macron...

Sa gestion de l'épidémie de Covid-19, sa réaction aux manifestations antiracistes et plus largement ses choix politiques… Emmanuel Macron reçoit bien des reproches de l'opposition en ce moment. Étonnamment, l'une des railleries qui revient le plus régulièrement concerne son teint hâlé. Mardi 23 juin 2020, le chef de l'État déjeune avec les présidents du groupe du Sénat, à l'Élysée. Interrogés par Le Parisien, certains sénateurs se sont montrés plutôt satisfaits du comportement du président qui s'est montré très à l'écoute de ses convives. L'un d'eux est toutefois plus réticent : il s'agit de Bruno Retailleau, président des Républicains au Sénat. "Chaque matin que fait le bon Dieu, Emmanuel Macron s'émerveille de sa propre intelligence", déclare l'homme politique vendéen. Il décrit un Emmanuel Macron "souriant, extrêmement bronzé et sûr de lui", continue-t-il avec ironie.

Une attaque de plus sur le bronzage du président de la République, qui a déjà essuyé bien des critiques pendant le confinement. Sur Twitter notamment, les internautes ont réagi avec beaucoup d'humour au teint de celui-ci, de plus en plus hâlé au fur et à mesure des interventions télévisées. 

Bronzage d'Emmanuel Macron : les théories fusent 

UV, maquillage, autobronzant… Certains ont même avancé qu'Emmanuel Macron aurait dérogé aux règles du confinement pour prendre le soleil au fort de Brégançon.

Vidéo du jour

En mai 2020, Le Point répond à ces interrogations en dévoilant "le secret du bronzage présidentiel". Tout simplement, le Président s'est installé dans le parc ensoleillé du palais présidentiel pour travailler : "Il a bossé et travailler ses dossiers durant la période de confinement", affirme une source de l'hebdomadaire. Malgré ces explications, le physique du chef de l'État continue à susciter les critiques de l'opposition.