Ils effectuaient des travaux de rénovation de longue date, quand les nouveaux habitants d'une maison ont découvert par hasard le cadavre réduit à l'état de squelette de l'ancien propriétaire, porté disparu...
Trois ans après sa défaite face à François Hollande et à l’aube de la prochaine élection présidentielle, Nicolas Sarkozy s’est confié au Parisien. Au cours d’un entretien à paraître ce vendredi, le patron des Républicains a accepté de revenir sur certains épisodes délicats de son mandat. "J’ai des regrets. Car j’ai cédé à une provocation. Une personne m’avait insulté, c’était son droit après tout. Je n’aurais pas dû lui faire de publicité", a-t-il ainsi confié à propos du fameux "casse-toi pauvre con" qu’il avait balancé à un Français. Et celui-ci d’ajouter, ironique : "Aujourd’hui, je prends plus de précautions (…) vous avez vu comme je suis calme maintenant ? Un vrai toutou !".
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"J’ai appris de la défaite"L’ex-chef de l’Etat est également revenu sur l’élection de 2012. J’ai "appris de la défaite", a-t-il affirmé. Mais si trois ans après la fin de son mandat présidentiel, Nicolas Sarkozy reconnaît aisément qu’il "y a beaucoup de choses qu’(il) referai(t) différemment", il ne démord pas sur certains points. "Les jeunes Libyens sont descendus dans la rue et nous ont demandé de les sauver. Et moi, j’aurai dû rester tranquillement dans mon bureau ?" , a-t-il ainsi lâché au sujet de l’intervention française en Libye en 2011. Et l’ancien président de la République de revenir également sur une phrase prononcée en 2005 alors qu’il était ministre de l’intérieur : "Vous en avez assez de cette bande de racailles ? Eh bien on va vous en débarrasser". "Je n’ai fait que reprendre les mots d’une habitante qui me demandait : 'Sarkozy, débarrassez-nous de cette racaille !'", a-t-il expliqué au journal, avant d’assurer : "J’assume".
Quant à ses intentions pour la prochaine élection présidentielle, Nicolas Sarkozy a laissé plané le doute: "Rendez-vous en septembre 2016!".