De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La semaine dernière, Le Parisien révélait que François Hollande et Nicolas Sarkozy avaient décidé de partager le même avion pour se rendre aux obsèques de Shimon Peres en Israël. On imaginait alors les réticences de deux hommes. Aucun n’ayant vraiment envie de passer 4h30 dans un lieu confiné avec son ancien rival. Ce dimanche, le JDD raconte les coulisses de ce voyage quelque peu tendu.
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Un problème de place
On apprend ainsi que le placement de Nicolas Sarkozy et François Hollande à bord de l’appareil a été le premier sujet de discordance. Le premier assure en effet à ses proches que le président de la République est venu s’assoir à côté de lui, tandis que le second affirme tout le contraire : "J’ai toujours la même place, dans le carré, près du hublot. Quand je suis arrivé, il était déjà là. Assis sur le siège à côté du mien".
"Soit on se battait froid, soit il y avait un échange vigoureux"
Ensuite, une fois installé, les deux hommes ont dû discuter ensemble. Un exercice qu’ils redoutaient l’un comme l’autre. "Soit on se battait froid, soit il y avait un échange vigoureux, soit c’était une espèce d’éclat de rire permanent, a commenté François Hollande auprès de son entourage. On n’a rien fait de tout cela". Pendant ce vol, les deux rivaux de 2012 étaient accompagnés de Meyer Habib, "député des Français de l’étranger dont la circonscription compte Israël et qui est proche de Benjamin Netanyahou", et d’Irina Bokova, "la directrice générale de l’Unesco", précise le JDD. "Meyer Habib parle beaucoup, ça nous a protégés", a confié le chef de l’Etat.
Eviter les sujets qui fâchent
Bien que distraits par les paroles du député PS, François Hollande et Nicolas Sarkozy n’ont pas pu s’empêcher de parler politique. Exit cependant les sujets qui fâchent ou la politique intérieure, ils se sont concentrés sur "la situation internationale", croit savoir l’hebdomadaire qui ajoute qu’ils ont également "rivalisé d’anecdotes sur Shimon Peres".
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