SociétéAssurance chômage: ces nouvelles règles pénalisantes pour les seniors
De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
© ABACAabacapressL'acteur avait déclaré avant sa mort vouloir faire euthanasier et inhumé son chien avec lui. Une volonté rejetée par les associations de défense des animaux.
Décédé le 18 août dernier à l’âge de 88 ans dans sa propriété de Douchy, Alain Delon laisse derrière lui Loubo, son berger malinois adopté auprès de la Fondation Brigitte Bardot. En 2018, il avait manifesté son envie de voir son fidèle compagnon euthanasié au moment de sa mort dans Paris Match et avait même déclaré dans l’émission des Grosses Têtes sur RTL, vouloir être “enterré dans ma chapelle au milieu des chiens”.
Un fidèle compagnon adopté en 2014
Loubo, qui a été adopté par l’acteur en 2014, est le dernier de la cinquantaine de chiens qui ont accompagné l’acteur au cours de sa vie. Décrit comme un “amoureux inconditionnel des animaux”, Alain Delon avait toujours mentionné son souhait d’être inhumé aux côtés de ses 35 chiens enterrés sur sa propriété du Loiret.
"Si je meurs avant lui, je demanderai au vétérinaire qu’on parte ensemble. Il le piquera afin qu’il meure dans mes bras. Je préfère ça plutôt que savoir qu’il se laissera mourir sur ma tombe avec tant de souffrances", avait-il déclaré à Paris Match.
“Tout va bien pour Loubo”
Mais plusieurs associations de défense des animaux s’y sont formellement opposé, proposant plutôt de recueillir le chien pour lui éviter l’euthanasie. "La vie d’un animal ne doit pas être conditionnée à celle d’un humain. La SPA se porte volontaire pour recueillir son chien et lui trouver une famille", a écrit la Société Protectrice des Animaux sur le réseau social X.
Vidéo du jour
Après avoir reçu de nombreux appels de sympathisants inquiets pour l’avenir du chien, la Fondation Brigitte Bardot a annoncé que Loubo restera finalement vivre à Douchy avec le plus jeune fils de l’acteur, Alain-Fabien.
