Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Viande crue, légumes, condiments, brioche... Les aliments défilent sur votre planche à découper. Seulement voilà : cette accumulation peut rapidement faire de cet ustensile de cuisne indispensable un véritable nid à microbes. Pour cette raison, il est essentiel de choisir une matière qui réduira les risques de "contamination croisée". Faut-il alors privilégier le bois ou le plastique ? Selon une étude du Canadian Institute of Food Safety, relayée par La Dépêche, "les planches à découper en plastique facilitent la prévention de la contamination croisée". Le plastique n'étant pas poreux, les bactéries ne peuvent pas se cacher à l'intérieur. Attention toutefois aux rainures causées par le couteau au moment de la découpe !
Quid de la planche en bois ? Des recherches auraient démontré que cette matière possède des propriétés antibactériennes naturelles, ce qui est un bon point. Toutefois, le Canadian Institute of Food Safety recommande d'opter pour des blocs de bois dur, comme l'érable : "Bien que les résineux soient moins chers, ils vous exposent à un risque beaucoup plus élevé de contamination croisée. Les planches sont plus poreuses, ce qui facilite la vie et la croissance des bactéries", explique-t-on.
Comment nettoyer une planche à découper ?
Peu importe la matière choisie, il est nécessaire d'entretenir régulièrement votre planche à découper pour éviter les contaminations. Le magazine Femme Actuelle conseille de ne pas les nettoyer au lave-vaisselle, mais de préférer un lavage à la main. Vous pouvez, par exemple, mettre un peu de sel sur votre planche puis frottez avec la moitié d'un citron. Rincez, le tour est joué !
L'idéal, si cela est possible, serait d'avoir une planche à découper pour chaque catégorie d'aliments : les risques seraient bien plus faibles.